Retranscription des premières minutes du podcast :
- Le Petit Matin Sud Radio, 5h-7h, Benjamin Gleize.
- Très bon début de semaine avec Sud Radio. Très bon début de semaine à vous, Maxime Trouleau.
- Merci, vous aussi, mon cher Benjamin. Bonjour à tous.
- On se retrouve pour une nouvelle série de revues de presse. On commence ce matin avec l'avenir.
- L'avenir de François Bayrou va-t-il être similaire à celui de Michel Barnier ? En tout cas, c'est une semaine cruciale pour l'actuel Premier ministre Noudil Figaro.
- Une chose est sûre, le Premier ministre activera dès aujourd'hui l'article 49.3 pour faire adopter le budget.
- S'il passe cette première haie cette semaine, puis celle de la sécurité sociale dans la foulée, le centriste pourra se prévaloir d'avoir mené à bien une mission quasi impossible.
- Noudil Figaro, un pays comme le nôtre ne peut pas rester sans budget, répète-t-il dans les colonnes de la Tribune dimanche, en amont des jours décisifs. En tout cas, du côté du Parti socialiste, le parti à la rose, Noudil Figaro, eh bien il faudra voir sa position lors de ce vote. Faudra-t-il censurer le gouvernement à l'occasion d'une motion de censure que déposera les Insoumis ? Eh bien malgré des concessions dont le coût est évalué à 5 milliards d'euros, les députés socialistes tergiversent d'ici à l'examen de la censure attendue mercredi.
- L'exécutif a les yeux rivés en tout cas sur l'attitude des oppositions, que ça soit à gauche comme à droite.
- Beyrou, ça passe ou ça casse, nous dit la dépêche du midi.
- Beyrou qui fait également la une de libération. Budget, Beyrou, 1,49,3.
- Et Inch'Allah, toute libération, cette phrase qui aurait été prononcée par le Premier ministre lors d'une réunion avant donc le vote aujourd'hui.
- À l'international, Donald Trump, eh bien ses menaces à exécution en ce qui concerne les droits de douane augmentés vis-à-vis du Canada, de la Chine, du Mexique. « La guerre commerciale est déclarée », écrient les échos.
- Oui, des taxes portant sur...
- 300 milliards de dollars de produits. C'est une promesse. C'était une promesse.
- Eh bien exécutée donc ce week-end, samedi, une série de décrets pour taxer les importations des trois premiers partenaires commerciaux des États-Unis.
- Vous l'avez dit, Benjamin, le Canada, le Mexique, la Chine, 25% pour ses deux voisins et 10% pour la Chine.
- 10% supplémentaires par rapport aux droits de douane qui sont déjà instaurés.
- Une vraie guerre commerciale dont, comme dit les échos, il s'agit d'une offensive protectionniste massive.
- En rien comparé.
- C'est comparable au salve du premier mandat Trump en 2018, un choc qui pourrait effacer 1,2% du PIB américain.
- Elle pourrait être attaquée, retoquée par la justice, d'ailleurs, nous dit les échos.
- Et on verra donc si Trump s'attaque normalement, en tout cas, c'est ce qu'il a dit, à l'Union européenne.
- C'est ce qu'il avait à annoncer, effectivement. On verra ce qu'il en est.
- En tout cas, cette question qu'on vous pose, craignez-vous une guerre commerciale entre les États-Unis et l'Union européenne ? Une question qu'on vous pose sur le compte...
Transcription générée par IA
