single-emission.php

Par avec Elisabeth Lévy, Thomas Guénolé

Migrants : une situation incontrôlable ?


Migrants : une situation incontrôlable ? Débat Elisabeth Lévy x Thomas Guénolé
Les invités

Retranscription des premières minutes du podcast :

- Sud Radio. Qu'est-ce qu'on attend d'un Premier ministre ? La vérité en face. Ils disent la vérité. Patrick Roger. Je dirai la vérité.
- Je dirai la vérité. Nous dirons la vérité ensemble. La vérité en face pour se dire les choses de 9h à 10h chaque matin et chaque mercredi aussi, vous le savez.
- Le débat, Elisabeth Lévy, Thomas Guénolé, politologue et enseignant. Thomas Guénolé. Alors ils n'ont pas le même point de vue, évidemment, la même vision des choses, mais ils sont capables de se respecter. Ce matin, les migrants, que ce soit en Méditerranée ou dans la Manche, de semaine en semaine, des migrants embarquent sur de petits bateaux.
- Il y a des naufrages. Il y a beaucoup de tentatives. Les passeurs sont derrière. L'Europe, la France, la Grande-Bretagne sont embourbés sur cette question.
- On va en parler et on va ouvrir le débat tout à l'heure. Autre sujet que nous aborderons et qui vous fera peut-être réagir, d'ailleurs, au 0826-300-300, les retraites.
- Est-ce qu'il faut abroger cette réforme ? Et le départ à 64 ans. Il y a les sujets dont on parle et dans les grands titres du jour. Et puis ceux aussi qui vous interpellent, que vous voulez porter à notre connaissance.
- Là, vous appelez au 0826-300-300. Et puis nous en parlons ensemble, bien sûr, ce qui ne tourne pas rond, notamment.
- Alors depuis ce matin, ce qui vous fait appeler au 0826-300-300, il y a ces deux sujets, notamment les impôts et les crèches.
- Alors est-ce qu'il y aura des augmentations d'impôts avec Michel ? Michel Barnier, son entourage dit non. Vous avez entendu Laurie tout à l'heure. On en a beaucoup parlé chez Jean-Jacques Bourdin tout à l'heure.
- Son entourage dit non alors que certaines informations le laissaient entendre. On va en parler comme cette histoire de polémique autour des crèches, des crèches privées pointues du doigt.
- Tiens, d'ailleurs, entre impôts et crèches, eh bien, il y a un lien. Pour avoir des crèches, notamment publiques, il faut des impôts parce que ça coûte cher.
- Un enfant, vous savez à combien ça revient, un enfant ? Un enfant, dans une crèche, dans une crèche publique à plus de 10 000 euros, 13 000 euros parfois.
- Les communes, les villes doivent payer mais ne peuvent pas tout et n'y arrivent pas.
- Sinon, il faudrait encore augmenter les impôts, les impôts locaux ou nationaux d'ailleurs pour qu'il y ait une redistribution.
- Alors oui, il y a des abus et sans doute de la maltraitance. Ça, c'est terrible. Il faut la dénoncer dans des crèches privées où on est peut-être un petit peu moins rigoureux, moins regardant parce qu'on fait pression pour que ça coûte moins cher.
- Oui, on le disait.
- Il y avait une spécialiste qui était invitée ce matin qui disait, bah oui, pour une crèche privée, parfois, c'est 3, 4, 5 000 euros par an, évidemment, de coûts de revient.
- Oui, parce qu'il y a aussi une pression des parents pour...

Transcription générée par IA

Revenir
au direct

À Suivre
/