single-emission.php

Par avec Géraldine Woessner, Regis Chevallier

Faut-il sauver l'écologie des écologistes ? Géraldine Woessner est notre invitée


Les maraîchers nantais encore visés par les Soulèvements de la Terre : Faut-il sauver l'écologie des écologistes ?
Les invités

Retranscription des premières minutes du podcast :

- Sud Radio. J'ai toujours tenu un langage de vérité. La vérité en face. Voilà ce que nous devons viser. Patrick Roger.
- La vérité en face. On se dit les choses de 9h à 10h chaque matin, vous le savez. Droit au but, pas de tabou.
- Restez bien avec nous jusqu'à 10h pour un livre enquête détonnant sur les dérives de l'écologie politique.
- Il faut évidemment se préoccuper de l'avenir de la planète avec le réchauffement climatique, mais au nom de grands principes qui n'ont pas toujours de bon sens.
- Le refus du nucléaire, des OGM, de l'agriculture traditionnelle. Un refus par dogmatisme.
- On fait souvent n'importe quoi, comme l'écrivent Géraldine Vosner et Erwann Sesnek dans leur grande enquête et ce livre.
- Les illusionnistes que j'ai parcouru évidemment ce week-end. Nous en parlons, vous pourrez réagir dans quelques minutes.
- Géraldine Vosner sera là et pourra répondre aussi à vos questions.
- Parce qu'il y a énormément de choses. Le climat, l'agriculture, le nucléaire, les OGM, je vous le dirais, les Mocento Papers, le glyphosate.
- Bien sûr, il y a des alertes à passer, mais parfois, c'est au nom évidemment de grands principes, mais des principes de précaution qui cassent tout.
- Tout ce que nous pourrions mettre en place et notamment sur un plan scientifique, c'est particulièrement intéressant. Nous en parlerons.
- D'ici là, vous avez la parole au 0826 300 300.
- Aussi, Manu vous attend au standard. Débat, interview et radio libre. Vous le savez, évidemment, radio libre parce que vous avez la parole pour réagir sur les grands titres du jour.
- Et puis, ce qui vous choque ou qui vous passionne, que vous voulez partager avec nous.
- Alors, dans l'actualité, il y a cette phrase de Bruno Rotaillot, le ministre de l'Intérieur, qui fait beaucoup réagir depuis hier soir.
- L'immigration n'est pas une chance et c'est pour cela qu'il dit.
- Bruno Rotaillot, qu'il voudrait faire un référendum sur l'immigration en France, mais il regrette que ce n'est pas possible, que ce ne soit pas possible aujourd'hui pour des raisons constitutionnelles.
- Alors, au 0826 300 300, vous êtes avec nous pour réagir. François et Jean-Pierre de Marseille, qui n'ont pas tout à fait la même vision des choses pour réagir sur ce sujet.
- Ils sont avec nous. François, d'abord, bonjour.
- Bonjour, Patrick.
- Bonjour. Et Jean-Pierre est avec nous également de Marseille.
- Bonjour, Jean-Pierre.
- Jean-Pierre, oui. François, sur ce que dit Bruno Rotaillot, quelle est votre réaction et votre opinion, vous ? Moi, ça m'a blessé. Ça m'a blessé parce que je suis d'origine espagnole. Et donc, mes parents sont arrivés en migrant en France. Ils ont échappé à Franco.
- Et donc, on a travaillé toute notre vie. Je veux dire, on est bien intégrés. On a fait ce qu'il fallait. On a payé nos impôts. Je veux dire, il s'est trompé, Rotaillot, quand il a dit « l'immigration n'est pas une chance », en fait, c'est « l'immigration devrait être une chance ».
- Oui.
- Aujourd'hui, c'est vrai que...
- « Devrait ».
-...

Transcription générée par IA

Revenir
au direct

À Suivre
/