Retranscription des premières minutes du podcast :
- Trois priorités. Sud Radio. La première, rétablir l'ordre. La vérité en face. La deuxième, rétablir l'ordre. Patrick Roger. La troisième, rétablir l'ordre.
- Tout est dit. Tout se dit entre nous. Vous avez la parole 0826 300 300 0826 300 300.
- Qu'est-ce qui vous interpelle ce matin dans l'actualité ? Il y a beaucoup les jeunes et les dérives à la une.
- L'affaire de l'ado tueur à gage à Marseille depuis ce week-end. On n'arrête pas d'en parler parce qu'il y a les jeunes et le trafic de drogue.
- On va l'évoquer tout à l'heure. L'islamisme face à l'explosion du nombre de mineurs radicalisés.
- Le gouvernement riposte. Vous avez entendu Haughtman Nassrou, le secrétaire d'État à la Citoyenneté tout à l'heure avec Jean-Jacques Bourdin.
- Pourquoi certains jeunes basculent ? Comment l'éviter ? Et puis la manipulation aussi des jeunes, perméable à toutes les idées.
- Et malheureusement, il y a le terreau en France.
- Du conflit israélo-palestinien. On peut évidemment invoquer des causes et se battre bien sûr.
- Mais tout de même, Jean-Luc Mélenchon appelle à brandir les drapeaux palestiniens-libanais dans les universités ou dans la rue.
- Dans un instant, vous avez la parole. Dans la vérité en face ensuite, est-ce que nous parlons la même langue ? Souveraineté, famille, patrimoine, démocratie, identité, ruralité.
- On n'entend pas forcément la même chose en fonction du lieu où l'on vit.
- Non, du centre de Paris, ça c'est Germain Després, tiens, au hasard.
- Ou du centre de Lyon, la Presqu'île, au hasard aussi, ne parle pas tout à fait de la même manière qu'un habitant des Landes ou de la Drôme quand il s'agit d'évoquer l'identité, la ruralité ou le patrimoine.
- Frédéric Dhabi sera avec nous tout à l'heure, directeur général de l'IFOP.
- Pour son livre, Parlons-nous tous la même langue ? Comment les imaginaires transforment la France ? Il sera aussi accompagné de Frédéric Michaud qui est directeur général adjoint d'Opinion.
- Donc, Radio Libre, bien sûr, nous avons beaucoup d'appels, comme chaque jour, pour parler de ce que j'évoquais à l'instant.
- Notamment ces enfants soldats recrutés comme de la chair à canon par les caïds, enrôlés parfois dès l'âge de 9 ans certains.
- Vous avez bien entendu, 9 ans, prêts à semer la mort pour quelques billets, c'est ce qui s'est passé du côté de Marseille.
- Nous sommes avec Thierry Malik qui est au 0826 300 300 de la région.
- Parisienne de Paris, même précisément, officier de police.
- C'est ça, Malik ? Bonjour.
- Oui, tout à fait. Bonjour à vous.
- Bon, Malik, et vous-même, vous êtes confronté à des jeunes délinquants quasi quotidiennement.
- Oui, c'est ça. Et en fait, c'est une dérive depuis des décennies.
- Parce que j'ai plusieurs décennies de police dans les jambes, comme on dit.
- En fait, grosso modo, il y aurait beaucoup à dire là-dessus.
- En fait, on a renoncé à vouloir encadrer nos mineurs.
- Il y a beaucoup de dérives.
- Surtout, à mon point de vue, on est tous un peu coupables.
- La société est coupable de...
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