Retranscription des premières minutes du podcast :
- Sud Radio. On ne peut pas mentir éternellement au peuple. La vérité en face. J'essaierai de dire la vérité, toute la vérité, rien que la vérité. Patrick Roger.
- La vérité, bah oui, la vérité. On a besoin de la voir. Mais quelle vérité ? C'est ce que se disent souvent certains. Par exemple, la vérité viendra-t-elle de l'Elysée pour l'annonce d'un Premier ministre ? Bah oui, probablement. Ce sera ce soir entre 18h et 20h, à droite, à gauche, au centre, de Bayrou à Cazeneuve. Il pourrait peut-être y avoir une surprise.
- Alors on parle de Roland Lescure, l'ancien ministre de l'Industrie. Il pourrait y en avoir d'autres aussi. Ça consulte beaucoup. Nous en parlerons tout à l'heure.
- J'aimerais vous entendre pour savoir ce que vous attendez. Si vous attendez quelque chose, si vous avez des noms. Alors ça bascule un peu moins à gauche.
- Ce matin, hier soir, c'était Cazeneuve. On en parlait beaucoup. Françoise de Gouin nous a tout dit, tout raconté ce matin. Qu'on soit d'accord ou pas d'accord avec son argumentation.
- En tout cas, ça revient un petit peu plus au centre et à droite. Pourquoi ? Eh bien parce qu'il y a eu ce sondage, cette information hier donnée par Sud Radio.
- Alors vous allez me dire, on ne gouverne pas avec les sondages. Mais quand même, ce sondage qui a été fait par l'IFOP pour le Figaro Magazine et Sud Radio et qui indique que Marine Le Pen reste très haut.
- Plus de 35%, parfois 38% en fonction des candidats en face. Pourquoi ? Eh bien parce que la motion de censure finalement n'a pas eu d'effet pour l'instant, en tout cas sur ses électeurs.
- Au contraire, ainsi que les affaires judiciaires. C'est peut-être d'ailleurs le boomerang aussi de la réquisition. Dans l'actualité aussi, les grèves.
- Il devrait y avoir des trains à Noël. C'est ce qu'a dit le ministre François Duvauvray qui était invité avec Jean-Jacques Bordin tout à l'heure.
- Mais on a toujours de l'inquiétude. D'autant que sur les routes, je ne sais pas.
- Ça roulera encore au moment des fêtes parce que ce sont les agriculteurs qui menacent maintenant.
- Ils disent qu'on ne voulait pas prendre les gens en otage. Mais là, on va peut-être être obligés de le faire pendant les fêtes.
- Et puis, il y a aussi les mafias qui raquettent les petites entreprises.
- On est en 2024 et ça se passe à Marseille. On l'a entendu ce matin sur Sud Radio avec notre correspondant Lionel Maillet.
- On va revenir avec lui et avec Lionel.
- Lionel, vous êtes avec nous en direct de Marseille. Bonjour.
- Bonjour Patrick.
- Je pense que les auditeurs vont réagir à ce qu'ils ont entendu ce matin dans votre reportage et puis ce que vous allez nous décrire encore.
- Il y a un racket organisé par les mafias de la drogue à Marseille.
- Les petits patrons et d'autres vous ont parlé ces derniers jours, Lionel.
- Oui, notamment les sociétés...
Transcription générée par IA