Retranscription des premières minutes du podcast :
- Sud Radio. Il y en aura pour tout le monde, je vous promets. La vérité en face. Il y a eu un peu de mélange dans mes pages. Patrick Roger. Je suis là.
- La vérité en face. Y a-t-il eu des instants de vérité hier de la part de François Bayrou, qui s'est parfois, vous l'avez entendu, perdu dans ses papiers.
- Il y a eu des petits moments de flottement. On va en parler dans un instant avec vous. 0826 300 300 Radio Libre. Vous avez la parole, vous le savez.
- Mais sur les retraites, c'est quand même un peu flou. C'est exactement, c'est exactement ce que j'avais dit hier avec l'ami Chad GPT.
- Et c'est le même texte. Je me demande d'ailleurs si vraiment ce sont les conseillers de Bayrou qui l'ont écrit.
- Autre sujet à la une ce matin, la dénatalité avec ce recul de la démographie, des naissances, bien sûr.
- Le recul aussi de l'immigration illégale et puis aussi la consommation de drogue.
- Et notamment du côté de la cocaïne où ça expose. Et puis les réseaux sociaux, stop ou encore, nous allons en parler.
- Notre débat du mercredi ce matin, Elisabeth Lévy tout à l'heure et Jean-François Akili.
- Les réseaux sociaux, stop ou encore, des influenceurs algériens. A Elon Musk, nous allons en parler.
- Décidément, ça ne tourne pas rond. Que nous a dit François Bayrou hier ? Nous devrons reprendre l'étude des cahiers de doléances issus de la crise des gilets jaunes.
- Il a donc fallu six ans pour qu'on reparle de ce fossé dans notre société et d'une crise profonde qui a éclaté, qui existe et qui s'est traduite dans les urnes ces derniers mois.
- C'est de là évidemment que ça vient. On n'avait quasiment plus parlé, bien sûr, lors de la campagne.
- Vous allez me dire, il n'y a pas eu véritablement de campagne. Il a dû avoir le temps d'y réfléchir d'ailleurs François Bayrou en tant que haut commissariat, haut commissaire, haut plan.
- En tout cas, ils avaient dénoncé, a-t-il dit ? L'état qu'ils ressentaient de notre société. Et cet état, c'était la division du pays entre ceux qui comptent et ceux qui ne comptent pas.
- Donc on va reprendre ces cahiers de doléances qui ont été présentés par les gilets jaunes, a dit François Bayrou, afin que s'expriment les attentes souvent les plus inexprimées qui sont celles des milieux sociaux exclus du pouvoir.
- Alors écoutez, voyons la suite. Comment ça va se concrétiser ? Une promesse en tout cas sur Sud Radio.
- On va continuer de parler vrai et de tout mettre sur la table.
- Alors justement, on va en parler, et si vous voulez réagir, sur les gilets jaunes et sur cette idée de remettre ces cahiers de doléances et de les entendre.
- J'aimerais vous entendre aussi, puisque je sais qu'il y a parmi vous beaucoup de gilets jaunes ou d'anciens gilets jaunes qui nous écoutent.
- Donc 0 826 300 300, vous avez la parole.
- On va aller...
Transcription générée par IA