Retranscription des premières minutes du podcast :
- Le meilleur de Sud Radio Média, Valérie Expert, Gilles Gansman.
- Bonjour à toutes et à tous, bonjour Gilles.
- Bonjour Valérie.
- Et on a décidé cette semaine de vous faire réentendre les meilleurs moments, les émissions qui nous ont le plus marqué cette année et qui méritent d'être réentendues.
- Le choix a été dur quand même.
- Le choix a été dur parce qu'on a eu quand même des superbes invités.
- Je vous félicite encore pour cette programmation first class.
- C'est gentil.
- Et il y a deux livres qui nous ont beaucoup plu.
- Celui de Cécile Pivot qui rend hommage à son père et celui d'Elisabeth Martichoux et Catherine Mangin, les deux journalistes qui ont écrit « L'art de perdre en politique ».
- Et c'est marrant parce que moi je leur avais dit que le passage qui m'avait le plus, le chapitre qui m'a le plus passionné était celui de François Bayrou.
- On va les réentendre dans un instant mais on commence avec Cécile Pivot.
- Le meilleur de Sud Radio Média.
- Valérie Expert, Gilles Gansman.
- Cécile Pivot, vous êtes l'une des filles de Bernard Pivot.
- Avec votre sœur Agnès, vous faites paraître aux éditions Calman-Lévy « Le goût des autres » avec un magnifique texte de Pierre Assouline de l'Académie Goncourt.
- Pierre Assouline qui a travaillé, qui lui a succédé à un moment, qui a été à la tête de Lire, du magazine Lire qu'il a dirigé.
- C'est un voyage dans la vie de Bernard Pivot.
- Ce sont des photos, ce sont de courts extraits, soit de lui, soit des extraits de ses livres, soit de personnalités qui l'ont rencontré.
- Là, je tombe au hasard sur Michel Onfray qui raconte que tous les auteurs attendaient d'être reçus par Bernard Pivot.
- Il publiait un livre, un deuxième, un troisième.
- Il n'est jamais invité.
- Un jour, il le croise, il parle vin, il parle Beaujolais et il l'invite.
- Donc c'est dans ce petit texte de Michel Onfray, on voit l'importance qu'il a pu avoir pour les auteurs, évidemment, et pour tout le monde de l'édition.
- Oui, puis on voit son numérique.
- Parce qu'il dit à Michel Onfray, d'après mon souvenir, un philosophe qui s'y connaît en vin, je l'invite tout de suite.
- Oui, parce qu'il lui dit, il est bouchonné.
- Et donc Bernard Pivot dit, quoi, vous êtes philosophe et vous vous y connaissez en vin, je vous invite.
- Aujourd'hui, il y a des programmateurs sur des émissions de télé qui dealent avec les attachés de presse, la présence des écrivains et autres dans les émissions.
- Est-ce que lui, il les appelait personnellement ou il y avait également un programmateur sur apostrophe où il prenait la peine de les appeler pour venir dans l'émission ? Non, je pense qu'il avait très, très peu de contact avec les attachés de presse.
- Il les connaissait, bien sûr, elles venaient sur le plateau, il les connaissait, mais c'était Anne-Marie Bourgnon qui appelait.
- Qui était sa collaboratrice pendant 1970 jusqu'à la fin de sa vie.
- Ils...
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