Retranscription des premières minutes du podcast :
- Le 10h midi, Sud Radio Média, Valérie Expert, Gilles Gansman.
- Bonjour, bonjour à tous et à toutes et bonjour Gilles.
- Bonjour Valérie.
- Nous sommes le jeudi 30 janvier et bonjour à vous Jessica Berthaud.
- Bonjour.
- Vous êtes journaliste pour M6, vous travaillez, vous avez réalisé un reportage qu'on va pouvoir voir dans Capital.
- C'est un Capital qui est consacré à notre santé, le coût de la santé en France.
- Ce médecin, il vous soigne, mais à quel prix ? On va en parler avec vous dans un instant.
- Et puis à 10h30, nous aurons la gagnante de la Starac qui sera avec nous, Marine.
- Et oui, vous chantez Jessica ? Un petit peu, très mal.
- Qu'est-ce qui vous a surpris dans toute cette enquête sur la santé ? C'est une enquête importante pour Capital.
- Il y a vraiment des choses qui ne vont pas ? Oui, alors ce qui nous a surpris en premier lieu, c'est que nous, on sait évidemment qu'aujourd'hui, c'est très difficile de trouver encore des rendez-vous médicaux.
- Ça, l'attente qui peut chez les spécialistes.
- Voilà, on le voit.
- On le savait déjà, donc ça peut être des fois 3 mois, 6 mois d'attente, voire parfois même 1 an pour certains spécialistes.
- Ce qui nous a un petit peu révoltés dans cette enquête, c'est qu'on s'est rendu compte aussi qu'il y avait certains spécialistes qui, au-delà d'être en situation de pénurie, vont se concentrer sur certains actes qui ne sont pas forcément des actes médicaux.
- Genre ? Genre les dermatologues, où on se rend compte que pour trouver un rendez-vous...
- De plus en plus de médecine esthétique.
- Exactement. Beaucoup de rendez-vous esthétiques.
- Et c'est vrai qu'on a voulu faire le test avec Julia Galland, qui est la co-réalisatrice.
- Du reportage, on se rend compte que certains rendez-vous, on appelle à 5 minutes d'intervalle pour un motif différent.
- Et vous avez effectivement, parfois même 1 an d'attente pour un rendez-vous médical contre 10 jours pour de l'esthétique.
- Donc ça, c'est quand même très flagrant.
- On ne s'attendait pas à avoir de tels traitements différents de traitement.
- De telles disparités, oui.
- Ça concerne principalement les dermatos, effectivement.
- Et on a du mal à avoir des rendez-vous chez ces spécialistes.
- Et puis, il y a les tarifs dont on va parler avec vous.
- Et puis, le plus surprenant, puisqu'on a vu le sujet, c'est surtout aussi les hôpitaux qui font ces pratiques lacérales, les hôpitaux de l'assistance publique.
- C'est ça le plus choquant.
- Alors, on sait qu'aujourd'hui, il y a l'activité privée à l'hôpital qui est autorisée.
- Mais ce qu'on a découvert au-delà de cette activité privée, c'est que ça peut justement engendrer des inégalités entre patients.
- On va passer au zapping.
- Valérie, même si on est hélas habitués aux images d'inondations, on est toujours choqués de voir les dégâts des rivières qui débordent, comme à Redon.
- Des crues qui n'ont fini pas de monter.
- Ça continue de monter à Redon.
- Après Eowyn et Herminia, vous savez,...
Transcription générée par IA