Retranscription des premières minutes du podcast :
- Le 10h midi, Sud Radio Média, Valérie Expert, Gilles Gansman.
- Bonjour à toutes et à tous, bonjour Gilles.
- Bonjour Valérie.
- Et bonjour Jean-Pierre Gagic, merci d'être avec nous.
- Vous êtes, est-ce qu'on a besoin de vous présenter, le journaliste, présentateur, animateur d'Automoto.
- Et vous êtes là, on en parlait juste avant, Automoto, la plus ancienne émission de TF1.
- Exactement, 50 ans cette année, la première édition, le premier numéro d'Automoto c'était en janvier 75.
- 3-4 jours après la création de TF1.
- On va passer la troisième alors.
- Est-ce que vous conduisez vite ? Alors ça dépend, je conduis vite sur circuit, je conduis vite quand j'ai l'occasion de faire des compétitions automobiles parce que je fais de la compétition automobile de voitures classiques.
- Donc je conduis vite quand on peut conduire vite.
- La vitesse maximale, auquel vous avez été ? 380 km heure.
- Arrêté.
- Oui.
- C'était où et quand ? C'était sur...
- C'était sur le grand circuit des 24 Heures du Mans, dans la ligne droite des Unodières, dans une voiture française, une Bugatti.
- Et quelle sensation ? Alors c'est assez incroyable parce que la particularité de cette voiture, c'est qu'elle est capable d'aller très vite puisqu'elle fait plus de 1000 chevaux, mais dans un confort absolument incroyable.
- On a l'impression d'être dans un TGV en fait.
- Donc on voit que ça défile très vite, mais on est dans un confort absolument incroyable.
- Vous avez piloté avec le fils de Jean-Pierre Pernaut.
- Oui, avec Olivier, bien sûr.
- Oui, oui, oui.
- Sur des compétitions tour-auto, notamment.
- C'est un très, très, très bon pilote, Olivier.
- Et c'est une occasion de penser à Jean-Pierre qui aimait aussi les circuits.
- Et sur glace aussi.
- Oui, oui, c'est vraiment un bel, un grand amateur de voitures.
- Comme dirait notre président, comment vous expliquez la passion pour la bagnole des Français ? Vous savez, la voiture, ça nous concerne tous.
- On voit tous au moins une voiture tous les jours, à moins d'être très, très loin quelque part sur Terre.
- D'accord.
- C'est un objet d'art pour certains.
- La 250 GTO, la Ferrari en Italie est un objet d'art.
- La Citroën DS avait été exposée au musée d'art moderne à New York.
- C'est une star de cinéma.
- Je ne vous apprends rien.
- Si vous prenez la DeLorean de Retour vers le futur, des voitures comme ça, ça parle à tout le monde.
- Et c'est vraiment un objet du quotidien.
- C'est un objet de liberté fantastique parce qu'on peut prendre sa voiture à 4 heures du mat et partir voir la mer sans demander rien à personne.
- Donc c'est pour ça.
- Il y a peu d'objets qui concernent notre quotidien en tant que la voiture.
- Mais qui sont aussi l'objet d'un certain ostracisme depuis quelques temps.
- Évidemment, bien sûr.
- Il y a eu beaucoup de questions sur la pollution, la fabrication, etc.
- et la difficulté qu'on a dans certaines villes, Paris en l'occurrence, à circuler.
- Exactement.
- Allez, on va passer au zapping et puis vous allez nous parler dans un instant de ce spécial 50 ans d'automoto avec un sommaire qui fait rêver.
- A tout de suite.
- Le zapping.
- L'instant zapping.
- Il sera dimanche à 10h05 sur TF1.
- Hier, le président Emmanuel Macron n'a pas expliqué comment il allait régler la quadrature du cercle.
- Je vous explique, Valérie.
- Financer le réarmement de la France sans augmenter les impôts.
- Hier soir, juste après son allocution, le journal de 20h de France 2 a tenté d'explorer quelques pistes en faisant réagir aussi les Français.
- Des milliards d'euros à trouver pour financer les dépenses militaires.
- Faudrait-il faire appel à l'épargne des Français ? Première idée, pourquoi ne pas lancer un nouveau produit avec des fonds dédiés à la défense ? Pour cet architecte, l'effort de guerre n'est pas une priorité.
- Je préférerais que ce soit mis dans le social, par exemple, pas dans le militaire.
- C'est juste que je n'ai pas envie que mon argent finance la guerre.
- Pourrait-on utiliser le livret A ? Aujourd'hui, il finance surtout le logement social.
- Demain, une partie de l'épargne pourrait être fléchée vers la défense.
- Cette retraitée place 200 euros par mois et ne serait pas contre.
- Il faut qu'on participe tous.
-...
Transcription générée par IA