Guillaume Maurice, producteur, Sébastien Girodon, réalisateur et le supplément média avec Piu Piu, Dj
Les invités
Animateurs, acteurs, journalistes, patrons de chaines, ils font l'actualité des médias. Chaque matin, Valérie Expert et Gilles Ganzmann reçoivent ceux qui, dans la lumière ou dans l'ombre, fabriquent vos programmes à la télévision et à la radio. Retrouvez "Sud Radio Média" du lundi au vendredi de 10h à 10h30 sur Sud Radio et en podcast.
Retrouvez ci-dessous la retranscription automatique des 5 premières minutes de votre émission :
"BRI"
Valérie Expert : Bonjour à toutes et à tous, une nouvelle semaine qui commence, Noël qui se rapproche.
Gilles Ganzmann : Bonjour Valérie,
Valérie Expert : Vous avez commencer vos courses ?
Gilles Ganzmann : Non pas encore !
Valérie Expert : Vous m'avez trouvé un cadeau ! Allez, on démarre cette semaine avec plusieurs invités aujourd'hui.
Gilles Ganzmann : C'est un peu mon cadeau, la programmation...
Valérie Expert : Et puis Guillaume Maurice, Maurice je précise bien, et Sébastien Girodon, bonjour, merci d'être avec nous, vous êtes producteur, Guillaume Maurice et Sébastien Girodon, vous êtes réalisateur et on vous reçoit pour "BRI" la série documentaire, les deux premiers épisodes, ce sera vendredi prochain sur Canal Plus à 21h, les deux autres le vendredi suivant, c'est dans la case Canal Plus, et c'est également sur Canal Plus Doc, c'est en intégralité sur MyCanal, dès vendredi prochain, c'est une série documentaire sur la BRI, donc on se disait avant de commencer qu'il y avait la fiction BRI, il y a aussi des docs anti-gang sur les anciens de l'anti-gang et là on est vraiment au cœur de l'action de ces hommes, qu'on peut appeler nos anges gardiens parce qu'ils sont là, ils travaillent en secret et leurs méthodes sont particulièrement rigoureuses et c'est ce qu'on va découvrir avec vous dans un instant, mais on commence avec le zapping.
"La BAC, on parlera des filatures, des courses poursuites et une nouvelle fois, le non-respect de tempérés est sous les feux de l'actualité."
Gilles Ganzmann : Valérie, c'était le grand week-end du Téléthon, il était plus d'une heure du matin, enfin presque dimanche matin donc, et le compteur s'est arrêté sur cette somme. "Justement, on va le regarder ce compteur final et pouvoir dire merci aux donateurs à vous, les Français, qui avaient encore une fois répondu 80 671 222 euros, merci à vous, de tout cœur, merci à Vianney." Les données ?
Valérie Expert : Oui, bien sûr.
Gilles Ganzmann : C'est vrai, plus de 80 millions de promesses de dons, 78 millions, c'était, l'année dernière a été récoltée, donc ils ont récolté plus d'argent, évidemment avec la BAC, on parlera des filatures, des courses poursuites et une nouvelle fois, le non-respect de tempérés est sous les feux de l'actualité. "C'est au niveau de ce feu tricolore que le drame est survenu, une route glissante au moment de l'accident et un scooter qui roulait bien trop vite, selon le procureur. Du fait d'une légère courbe de la route et de la présence d'un chantier sur la droite dont les palissades masquaient un petit peu la vue de cette voie, le conducteur n'a pas pu voir qu'il n'y avait pas de voiture sur la droite et qu'il aurait pu, le cas échéant, se dégager, si je puis dire, en passant par la droite et on voit bien qu'il cherche à freiner en amont du feu, mais beaucoup trop tardivement. Vendredi soir vers 23 heures, un équipage de la BAC tente de contrôler un deux roues qui vient tout juste de griller un feu rouge. Le scooter ou deux adolescents de 17 ans ont pris place, refusent d'obtempérer et poursuit sa course pendant deux kilomètres." Sébastien, dans votre doc, à un moment, on voit les Go Fast, on voit quand même que la police, enfin en tout cas la BRI, que ça soit sur des enquêtes ou sur le Go Fast, en fait, ils ont des risques en voiture quand même.
Sébastien Girodon : Ils essayent de ne pas en prendre trop quand même. Bien sûr que les policiers de la BRI sont obligés de prendre un certain nombre de risques, mais ce sont des risques calculés quand même à chaque fois.
"Un autre abandon, trahison de notre propre famille."
Gilles Ganzmann : À un moment, on les voit quand même dans la circulation normale avec monsieur et madame tout le monde et on les voit aller assez vite quand même.
Sébastien Girodon : C'est ce que explique l'un des membres de la BRI CADER. C'est que parfois, ils sont obligés de prendre un certain nombre de risques pour interpeller des gens qui ne respectent absolument pas les règles et le code de la route. Si vous vous astreignez à respecter scrupuleusement le code de la route, vous ne pouvez pas interpeller les gens d'individus.
Valérie Expert : Et puis, on voit toutes les précautions, on a en reparler, toutes les précautions qu'ils prennent justement sur leurs interventions, parce que parfois, ça se trouve au milieu de la population et c'est la complexité de leurs interpellations. On continue, Gilles.
Gilles Ganzmann : C'était le rendez-vous Média attendu à grand renfort, annoncé à grand renfort d'une de Paris Match, l'interview des filles de Johnny et Didet, Joy et Chad. Deux adolescentes qui ne savaient pas trop pourquoi elles étaient là quand on regarde cette A8. C'était dimanche sur TF1. Elles ont regretté la guerre de l'héritage. "À l'époque, comment vivez-vous cette guerre-là ? Moi, je l'ai vécu assez mal parce que j'ai pris ça comme une trahison, en fait, un abandon. Un autre abandon, trahison de notre propre famille. On nous avait fait des promesses qui seraient toujours là pour nous qu'on se verrait régulièrement. (...)