Marc Simoncini, investisseur et Stéphanie Delestre, investisseuse pour 'Qui veut être mon associé ?'
Marc Simoncini, investisseur et Stéphanie Delestre, investisseuse pour 'Qui veut être mon associé ?'
Les invités
Animateurs, acteurs, journalistes, patrons de chaines, ils font l'actualité des médias. Chaque matin, Valérie Expert et Gilles Ganzmann reçoivent ceux qui, dans la lumière ou dans l'ombre, fabriquent vos programmes à la télévision et à la radio. Retrouvez "Sud Radio Média" du lundi au vendredi de 10h à 10h30 sur Sud Radio et en podcast.
Retrouvez ci-dessous la retranscription automatique des 2 premières minutes de votre émission :
"Qui veut être mon associé ?"
Valérie Expert : Ce matin deux invités, Marc Simoncini et Stéphanie Delestre, bonjour à tous les deux, bonjour, merci d'être avec nous pour parler évidemment de l'émission "Qui veut être mon associé ?", évidemment l'émission qui cartonne sur M6, Marc Simoncini vous y êtes depuis le début, depuis 4 ans, vous allez nous dire si vous avez gagné un peu d'argent dans vos investissements, je vais vous le demander, cet investisseur avec des trajectoires incroyables à chaque fois, moi je trouve que c'est passionnant et je trouve que l'émission on suit, nous avec Gilles depuis le début, a beaucoup évolué sur la forme et sur le type d'analyse que vous faites, mais on va en parler.
Valérie Expert : On pourra parler aussi si vous avez vu la version américaine ou anglaise qui s'appelle "The Shark" où là c'est vraiment un autre ton qui est donné dans les versions américaines.
"La cuillère c'est le dernier refuge de la dignité humaine."
Valérie Expert : On va en parler dans un instant mais comme tous les jours le zapping, ce que vous avez loupé à la télé ce week-end.
Valérie Expert : Évidemment Valérie, dans ce zapping, l'émotion forte dans les médias ce week-end pour la disparition de Robert Badinter, juif ouvrière de l'abolition, de la peine de mort et de la dépénalisation de l'homosexualité. L'an dernier il avait expliqué pourquoi vous allez voir, c'est un son qu'on n'a pas beaucoup entendu, il a conservé deux cuillères. "Cette soupe épaisse, il reste la cuillère ou sinon vos mains et vous vous agenouillez vers le bassin en lapant comme un animal. Il me dit la cuillère c'est le dernier refuge de la dignité humaine et depuis lors j'ai toujours regardé les cuillères différemment. C'est grâce à elle que la dignité humaine peut être sauvegardée même dans un camp de concentration." Car il a ramené un seul souvenir d'Odjowicz qui est une cuillère parce que ça lui permettait de garder sa dignité. (...)