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Par avec Olivier De Benoist, Gilles Lionel Mauguin

Émission du 03 octobre


Christine Bouillot et Gilles Ganzmann reçoivent Olivier De Benoist, comédien et Gilles Lionel Mauguin, journaliste.
Les invités

Retranscription des premières minutes du podcast :

- Le 10h midi, Sud Radio Média, Christine Bouillaud, Gilles Gansman.
- Et bonjour à tous, bienvenue, c'est Sud Radio avec Gilles Gansman pour les médias.
- Bonjour Gilles. Bonjour Christine.
- On est tous en rose aujourd'hui à Sud Radio, presque en tous les cas.
- Octobre Rose, on le rappelle, Sud Radio évidemment vous invite à participer à toutes les opérations qui sont menées.
- Et il y a un site, Octobre Rose, pour aller faire des dons contre le cancer.
- Absolument. Aujourd'hui, nous allons parler d'une femme détective, une certaine capitaine Marlowe, mais avec celui qui fait partie du casting de ce numéro que vous verrez vendredi, c'est le comédien Olivier Debenois.
- Bonjour Olivier. Bonjour et surtout parlons vrai.
- Oui, bien sûr. Vous êtes sur la bonne place.
- Parce que je suis à test visuel et je m'aperçois que je lis sans lunettes, parlons vrai.
- Et en fait, c'est le slogan de la radio, c'est un hasard extraordinaire.
- C'est ça. Et vraiment, c'est pas usurpé.
- Alors ça se passe en Bretagne. Est-ce que vous étiez choisi parce que vous appelez Olivier Debenois ? Ça sonne breton Olivier Debenois.
- Effectivement, puisque ma mère est d'Abbeville, donc en fait c'est une famille bretonne.
- Donc effectivement, je suis à moitié breton.
- Au Calia avec le navigateur.
- Si, si, c'est le cousin Germain, ma mère.
- Ah bon ? Donc voilà, c'est un type dont j'ai salué l'héroïsme.
- En tout cas, quand j'étais enfant, quand on parlait de Gérard d'Abbeville, pour ceux qui ne connaissent pas celui qui a tracé l'Atlantique et le Pacifique à la rame, c'est vrai que c'était le héros des temps modernes.
- Et donc voilà, j'ai toujours une admiration surbande pour lui.
- Et voilà, donc je suis très fier de le dire de temps en temps, surtout sur les radios importantes.
- Alors c'est donc vendredi soir, 21h05, pour ceux qui ne le savent pas encore sur France 3.
- Capitaine Marleau, ça s'appelle à Contrecourant.
- Alors vous jouez dans un groupe de copains, on va raconter l'histoire, qui se retrouvent.
- Et vous devenez finalement le beau-père de votre meilleur ami par incidence.
- Et ça se passe mal, évidemment, il y a un mort.
- Et c'est le capitaine Marleau, on va dire...
- Le cas arrive.
- Qui enquête avec sa dégaine.
- C'est vrai que quand j'ai été choisi, j'ai été ravi parce que je suis un grand fan.
- Je suis un grand fan de Capitaine Marleau.
- J'adore ce personnage qu'a créé Corinne avec José.
- Et tourner avec José Dagnon, c'était exceptionnel.
- Parce qu'on tourne très vite.
- José sait exactement ce qu'elle veut.
- Et donc voilà.
- Et d'autant plus, j'étais ravi qu'elle m'a après reproposé, et je reviendrai ici pour en parler, j'espère, le Fred Vargas.
- Qui sort sur la dalle en janvier.
- Je joue aux côtés notamment d'Yvan Attal, Virgile Douayen, Sylvie Testu, etc.
- Et donc vous aimez qu'on vous hurle dessus ? Mais non, mais moi, j'ai toujours...
- Je suis fan absolu.
- Je crois que ce n'est pas du hurlement, c'est simplement un espèce...

Transcription générée par IA

  • Chronique:

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    Olivier de Benoist sa première dans capitaine Marleau

  • Chronique:

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