Retranscription des premières minutes du podcast :
- Le 10h midi, Sud Radio Média, Valérie Expert, Gilles Gansman.
- Bonjour Gilles, bonjour à tous et à toutes.
- On ne s'en était pas trop exclus parce qu'on est ensemble avec Laurent Boyer ce matin.
- Bonjour Laurent et on se rappelle les anciens combattants.
- On se rappelle les souvenirs.
- Qu'est-ce qu'on a comme souvenirs ensemble Valérie ? On peut dire un mot sur les femmes en or ? Non mais franchement c'était merveilleux.
- C'était récompensé des femmes d'exception.
- C'était Franboise Ols qui célébrait les femmes.
- Les femmes dans l'industrie, dans tous les domaines.
- C'est la première fois qu'on mettait les femmes en valeur.
- Exactement.
- Et c'était en 92 la première session.
- On était trois je crois et après je l'ai fait tout seul pendant 17 ans je crois.
- J'adorais ça.
- C'était vraiment sympa, c'était à Courchevel.
- Bon voilà, on vous raconte la vie.
- Mais c'est vrai qu'on peut leur rendre hommage à tous les deux ce matin.
- Les femmes qui ont été mises à l'honneur à l'époque, c'est vraiment des femmes d'exception.
- Absolument.
- Mais Laurent, on va parler avec vous aussi.
- Il n'y avait pas de l'alcool.
- Il n'y avait que dans la fondue, si je comprends bien.
- C'est ça aussi.
- Toujours avec modération.
- Laurent Boyer, évidemment, c'est fréquent star, c'est graine de star, c'est un animateur culte.
- Vous êtes sur une radio concurrente avec un autre micro rouge.
- Vous avez beaucoup de discernement Valérie.
- Oui, avec un micro rouge, vous avez fêté vos 25 ans sur cette radio.
- Oui, d'RTL, cette année, le mois de septembre.
- 25 ans.
- C'est dingue, j'avais 42 ans que je faisais de la radio.
- Je faisais le compte et je commençais en 80 à Radio 7.
- C'est ça.
- J'avais 42 ans que je faisais de la radio, sans m'arrêter en fait.
- Sans jamais avoir eu d'arrêt ? Non, non.
- Et pourquoi autant de fidélité ? J'ai fait 12 ans de repas et puis 25 ans d'RTL et avant Radio 7, Radio France.
- J'étais formé par Radio France avec les Bleus de la Nuit sur Inter.
- J'ai prof de français.
- Et pourquoi autant de fidélité à M6 ? Parce que c'est ma chaîne de cœur, M6.
- Vous avez commencé en 87 sur 4 signes.
- On a essayé de vous débaucher.
- Oui, oui, TF1.
- Entre 95 et 99.
- Oui.
- 98.
- D'ailleurs, Nicolas Taverneau, le président, m'en a toujours ségré parce qu'il me dit « Tu m'as jamais mis la pression. » « Jamais fait de chantage. » Jamais.
- Chantage à l'argent ou ce genre de choses.
- Jamais.
- Parce que j'avais une telle autonomie sur M6, une telle indépendance de création.
- Évidemment, ça n'avait rien à voir au niveau des émoluments.
- Le pouvoir de TF1, évidemment.
- Mais à l'époque, c'était l'arrivée de Graines de Stars qui avait fait mal.
- Et je pense qu'ils cherchaient un équivalent.
- Ou ils cherchaient surtout, je pense, à déstabiliser M6 en me prenant.
- Parce que dans le contenu, il n'y avait pas grand-chose.
- Mais vous étiez la vedette star de la...
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