Retranscription des premières minutes du podcast :
- Sud Radio Média, Benjamin Gleize, Gilles Gansman.
- Bonjour à tous, ravi de vous retrouver ce matin. Bonjour Gilles.
- Bonjour Monsieur Benjamin.
- Comment ça va ? Ça va bien ? Ça va bien, ça va bien. On a eu une petite nuit forcément.
- Bonjour Michel Denisot.
- Bonjour.
- Vous êtes notre invité. C'est un plaisir de vous recevoir.
- C'est un honneur.
- Un honneur.
- C'est culte.
- Un honneur, oui.
- Toute première fois, ils ont tous commencé sur Canal, c'est aux éditions Flammarion, les 40 ans de Canal+, qu'on fête cette année.
- Vous avez, vous aussi êtes un enfant de Canal, d'une certaine manière, vous avez tout fait dans la télé.
- Est-ce que vous avez déjà animé des soirées électorales ? Ça vous est arrivé ? Ah oui, mais c'était avant Canal, ça m'est arrivé sur la troisième chaîne.
- J'ai fait l'ouverture, le début de la troisième chaîne.
- Il y avait marqué « troisième chaîne couleur » à l'époque, c'est pour vous dire qu'on sortait quasiment du noir et blanc.
- Et donc oui, j'ai fait des soirées électorales à ce moment-là, avec des petits moyens, mais avec conviction.
- Et c'est chiant ou pas, faire les élections électorales ? Non, c'est bien, il y a de la tension, l'événement est là, donc notre boulot, c'est de rendre compte de l'événement.
- Mais non, c'est passionnant.
- Alors, on va en parler, de tous les personnages qui ont eu leur première fois sur Canal+, et la liste est impressionnante.
- Il n'y a pas Mitsou Mitsou ? Pardon ? Il n'y a pas Mitsou Mitsou ? Vous savez, le péteur qui était dans...
- Ben non ! Je suis très déçu que vous n'ayez pas mis Mitsou Mitsou.
- Bruno Carette n'est pas là, n'est plus là.
- Donc voilà, il y en a dans la liste, avec lesquels vous êtes encore très très amis.
- J'ai des bonnes relations avec tout le monde, tout le monde m'a répondu vraiment rapidement, tout de suite, avec plaisir d'ailleurs, parce que ce qu'on apprend dans ce livre, c'est que les gens qui sont aujourd'hui la plupart en haut de l'affiche, c'est que Canal a été une chance inouïe pour eux, parce que leur destin n'était pas écrit, et ils avaient peu de chances de devenir ce qu'ils sont devenus.
- Il y a des exemples qui sont les plus spectaculaires, comme Jamel Omar Sy, Michel Azanavicius, qui au début à Canal, avant d'avoir 5 Oscars, faisait des montages, des tournements d'images, des boulots, ce qu'on pourrait appeler des petits boulots, mais avec passion, et puis aujourd'hui, voilà ce qu'ils sont devenus.
- Canal a été un carrefour, et sûrement encore aujourd'hui, un porte-avions pour des talents, qui arrivaient de partout, parce que l'accès était facile, il n'y avait pas de marketing, ça fonctionnait à l'envie, à l'instinct, et voilà, ça a donné ça.
- Et puis il y a bien sûr, on pourra en reparler après, mais il y a bien sûr votre histoire avec Charles Vietri, et le fait également que Canal+, a réinventé la...
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