Retranscription des premières minutes du podcast :
- Le 10h midi, Sud Radio Média.
- Bonjour Gilles Ganteman.
- Bonjour.
- Et écoutez, je suis ravi de vous retrouver.
- On embrasse toujours, c'est la nouvelle tradition.
- Valérie Expert.
- D'ailleurs, un petit rappel amical à tous ceux qui nous écoutent sur Sud Radio.
- N'embrassez pas Valérie Expert.
- Il y a une sale grippe qui tourne, la moitié de la rédaction l'a attrapée.
- Sachez-le, gâchez pas vos fêtes comme ça.
- Si vous posez Valérie au marché, parce que vous avez elle à l'intérieur.
- Surtout n'embrassez pas Valérie Expert.
- On va parler aujourd'hui d'une noble cause avec votre invité, mon cher Gilles Ganteman.
- D'autres invités ? Mais bien sûr, votre invité.
- On reçoit Philippe Cavrivière.
- Salut, bonjour.
- Ça nous fait plaisir de vous recevoir, Philippe Cavrivière.
- Avec vous, on va parler de ce documentaire sur W9, 22h50.
- C'est un concert, pardonnez-moi.
- Invincible ensemble contre la maladie de Charcot, un fléau.
- Pourquoi la maladie de Charcot d'ailleurs ? Parce que j'ai une histoire de rencontre amicale forte.
- Avec Olivier Gouin, dont j'ai vu le documentaire Invincible l'été.
- J'ai vu un extrait et je lui ai envoyé un message sur Instagram.
- Et il m'a dit, je vous écoute.
- Et puis après, on a parlé.
- Et puis après, on s'est tutoyés.
- Et après, j'ai vu le docu en entier.
- Il m'a invité.
- Et je suis comme Nicolas Santiveille, comme Pierre-Antoine Capton, comme tous les gens qui croisent Olivier Gouin.
- On ne peut être que bouleversé par ce monsieur.
- C'était un moment fort de quelle époque aussi ? C'était incroyable.
- Il y avait un silence.
- Il y avait...
- C'était un moment, moi, je l'avais mis dans mon zapping assez inoubliable.
- Oui, il y a des émissions qu'on retient.
- Et là, il y a quelque chose...
- Il a fait un chemin de pensée par rapport à l'acceptation de la maladie, de l'impermanence, de la finitude qu'on doit tous faire, que lui a fait en accéléré.
- Il le dit avec beaucoup de justesse.
- Il y a une psy qui a été le déclencheur, qui lui a dit, attention Olivier, vous êtes en train de vous punir deux fois.
- Une fois avec la maladie et une fois en ressassant, en permanence.
- Maintenant, c'est à vous de choisir.
- Comment faire ? Être à la fois dans l'empathie et pas la pitié.
- C'est toujours difficile d'aborder, on en parlait un peu hors antenne, d'aborder les malades du cancer, qui est une autre cause, on pourra en parler tout à l'heure, et les gens de la maladie de Charcot.
- Comment être face à eux ? C'est lui qui donne le là.
- Moi, quand j'ai fait ma...
- J'ai vu qu'il avait de l'humour.
- Il m'a dit, je t'aime bien, machin, je te suis sur les chroniques.
- Donc, je me suis dit, il aime cet humour-là.
- Je l'ai eu une première fois.
- Où j'avais fait des vannes.
- Et après, je l'ai découvert.
- Donc, j'ai vu qu'il allait plus loin que moi.
- Donc, quand je l'ai reçu la deuxième fois, il est avec Anne Fulda,...
Transcription générée par IA