Par Philippe David et Stéphanie De Muru
Les parents ont-ils un droit de correction sur les enfants?
La cour d’appel de Metz exhume un prétendu “droit de correction” pour relaxer un père accusé de maltraitance. L’ancien policier est accusé par ses enfants et son ex-épouse de gifles, de fessées, de levée par le col, de plaquage au mur, et même de gestes proches de l’étranglement… Le parquet se pourvoit en cassation contre ce “droit de correction” invoqué par les juges d’appel. -La loi interdit formellement les châtiments corporels depuis 2019.)