Retranscription des premières minutes du podcast :
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- Kalos présente...
- Sud Radio, Bercov dans tous ses états.
- Et aujourd'hui, dans son face-à-face, André Bercov reçoit Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout la France.
- Tout va bien, tout va très bien, madame Lamarcky.
- C'est vrai, je ne comprends pas les gens.
- C'est vrai, Dupont-Aignan, on dit ça ne va pas.
- Mais non, mais vous exigez, vous n'êtes pas pourtant un prophète de mauvaise augure, mais enfin un esprit chagrin.
- Mais écoutez, le chômage, c'est pratiquement fini, on est dans le plein d'emplois.
- La dette, elle est pratiquement terminée.
- Le gouvernement, il paraît qu'on s'apprête à une dissolution.
- Une dissolution, non, en tout cas une dissolution non pas de l'Assemblée Nationale, c'est pas possible pour le moment.
- Mais une dissolution du gouvernement Barnier.
- Alors, je voudrais, on va un peu parler du fond Nicolas Dupont-Aignan.
- Vous vous battez depuis, on le sait, vous avez été député de l'Essonne pendant 27 ans, depuis 27 ans.
- Vous avez été maire de Rière depuis 1995.
- Donc, la vie politique, vous la connaissez depuis plus longtemps.
- Et vous vous battez, en tout cas, on peut vous reprocher beaucoup de choses, mais pas votre cohérence, c'est clair.
- Et aujourd'hui, on a l'impression, et je voudrais avoir votre sentiment là-dessus, d'une espèce de jeu d'ombre.
- Où on vous dit, dites bien, il ne faut pas que Marine Le Pen envoie la guillotine.
- Non, il ne faut pas ceci, il ne faut pas cela.
- Qu'est-ce qui se passe ? On a l'impression d'un jeu d'ombre, où on ne sait plus qui, que les mots ont perdu leur sens et leur sens de mot.
- Merci André Bercoff.
- C'est vrai que ça fait un certain nombre d'années que je subis ce monde politique pathétique.
- Et que j'ai vu la, comment dire ? La descente.
- La descente aux enfers.
- Et pour autant, je reste convaincu qu'on peut faire autrement.
- Et c'est là où je comprends mes concitoyens quand ils sont désespérés, écoeurés, et que je leur dis, il ne faut pas se résigner, parce que si vous vous résignez et que vous ne votez plus, et bien, ils vont rester.
- Ce seront les mêmes.
- Alors qu'on peut faire autrement.
- Ce qui me surprend le plus, je vais vous dire, mais vous savez la célèbre phrase d'Odiard, c'est à cela qu'on les reconnaît, c'est qu'en fait, ils étaient persuadés qu'ils pouvaient continuer éternellement.
- C'est-à-dire, je prends l'exemple d'Emmanuel Macron, il a cru qu'il suffisait de nommer Michel Barnier, issu du plus petit parti suite aux élections législatives, qu'il suffisait de faire semblant de faire autrement tout en faisant la même chose, et que ça allait passer.
- C'est-à-dire qu'ils ont un culot à toute épreuve.
- Ils ont tellement eu l'habitude de se moquer des Français, et pour moi, je suis en train d'écrire un livre, donc je retravaille tout ça.
- Ça a commencé, la faille, au référendum de 2005.
- Les...
Transcription générée par IA