États-Unis, Russie, Ukraine... Qu'est-ce qui ne tourne pas rond dans le monde actuel ?
On en parle avec Charles Gave, président de l'Institut des Libertés.
Les invités
Accompagné d'un invité expert, André Bercoff détaille pour vous, du lundi au jeudi, un fait marquant de l'actualité du jour. À retrouver sur Sud Radio et en podcast.
Retrouvez ci-dessous la retranscription automatique des 2 premières minutes de votre émission :
"Un pays qui a su commencer à baisser son chômage de masse, qui était une des maladies françaises depuis plus de trois décennies."
André Bercoff : Ah oui Maurice Chevalier, ça sent si bon la France. Aujourd'hui ça sent un peu le lisier quand même, je ne sais pas si ça sent aussi bon que ça en ce moment la France pour des raisons diverses et variées mais on sent plus effectivement certaines effluves que certains parfums. Pourquoi ? Eh ben on va en parler, on va en parler effectivement avec Charles Gave mais auparavant justement écouter des extraits de ce qu'a dit Emmanuel Macron, le président de la République qui était en Suède hier encore et voici ce qu'il a dit pour faire, pour expliquer aux Suédois où en était la France. Alors quelques extraits et on va en parler ensemble.
"Parce que ces dernières années, nous nous sommes profondément rapprochés d'un de l'autre. D'abord, nous, on nous réforme. Et depuis ces temps, la France a mené un train de réforme en matière économique, fiscale, sociale pour complètement changer notre paysage entrepreneurial qui a fait de notre pays, eh bien d'abord un champion de l'entrepreneuriat et de la création de start-up, un des champions du financement de l'innovation, c'est start-up, le pays le plus attractif d'Europe depuis quatre ans. Un pays qui a su commencer à baisser son chômage de masse, qui était une des maladies françaises depuis plus de trois décennies. Nous avons créé plus de 2 millions d'emplois, baissé d'un peu plus de points de chômage et nous l'avons fait en réduisant nos émissions de CO2. Et au moment où je vous parle, nous avons, nous sommes passés de 9 à 7 % de chômage, c'est encore trop. On va continuer à le baisser par des réformes supplémentaires, mais nous l'avons fait en doublant notre fricule de baisses d'émissions de CO2." (...)