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Par avec Philippe Pascot

L'association anticorruption Anticor récupère son agrément


Nous allons parler de la récupération de l'agrément de l'association anticorruption Anticor
Les invités

Retranscription des premières minutes du podcast :

- Écoutez, Sud Radio Bercov dans tous ses états, le fait du jour.
- Antisocial, tu perds ton sang au froid.
- Repose à toutes ces années de service.
- Eh oui, vous reconnaissez tous, Trust Antisocial.
- Antisocial, là c'est pas antisocial, c'est anticorps.
- Mais c'est quoi, anticorps ? Eh bien, anticorps, c'est une association, on en a parlé déjà avec la personne qui est avec nous aujourd'hui, qui lutte contre la corruption et qui veut rétablir l'éthique en politique.
- Non mais vous voyez ça ? Non mais, l'ambition, c'est une folie quoi.
- Comment ? Lutter contre la corruption et rétablir l'éthique en politique ? Ça va trop loin, franchement, on peut comprendre qu'ils ont eu des problèmes, oui.
- Parce que leur ambition, écoutez-moi bien, auditeurs résistants du Sud Radio, est de réhabiliter le rapport de confiance qui doit exister entre les citoyens et leurs représentants politiques et administratifs.
- Comme s'il n'y avait pas une confiance aveugle, une confiance totale, basée sur des années et des années de pureté, d'honnêteté, d'intégrité.
- Philippe Pascoe, pour nous résumer.
- Bonjour André Zet.
- Bonjour, bonjour Philippe, vous êtes...
- Bonjour Marie.
- Vous avez été maire adjoint d'Evry.
- Oui, je suis la seule personne qui me soit battue deux fois physiquement avec Manuel Valls.
- Ah bon ? Oui.
- Une fois il m'a collé contre le mur, une fois je l'ai collé contre le mur.
- D'accord, bon, et que c'est une égalité, c'est très bien.
- Vous avez 25 ans de vie politique derrière vous, mais vous avez surtout un certain nombre de livres qui ont fait un malheur.
- Enfin, Le pouvoir du pire, l'abstention de Pierre Jacon, les pires d'État.
- Et vous avez, vous-même, longuement, longuement dénoncé un certain nombre de magouilles, de manœuvres, au niveau que ce soit des élus et autres.
- 1700 noms dans mes livres.
- Combien ? 1700 noms.
- C'est pas mal.
- Et un seul procès.
- Ah bon ? Contre vous, c'est-à-dire ? Ah bah oui, j'ai perdu, j'ai fait une erreur, j'ai perdu, j'assume.
- Mais sur 1700 noms, c'est pas mal.
- C'est pas mal.
- Je mets leur adresse et je mets les délits qu'ils ont faits.
- Et je ne fais que dans le factuel.
- Alors, revenons justement dans le factuel et dans Anticor.
- Ça y est, Anticor, donc, a retrouvé son agrément et peut à nouveau fonctionner.
- Oui, après 440 jours où on nous a retiré notre agrément sans justification, après 8 procédures judiciaires, des trucs insombables, les ministres se sont repassés la balle, la patate chaude, l'un, l'autre, etc., etc., pour ne pas donner un agrément, pour ne pas dire pourquoi ils ne l'avaient retiré.
- Eh bien, M. Attal, après le dernier jugement du 4 septembre 2024, qui condamnait l'État, écoutez bien, 4 septembre, il y a une semaine.
- 4 septembre, qui condamnait l'État à nous verser 1000 euros par jour de retard d'acceptation de l'agrément, le 5 septembre, dans un geste majestueux, peut-être un petit peu revanchard, d'un ex-premier ministre qui s'appelle Attal, nous a signé l'agrément enfin, nous a redonné notre agrément,...

Transcription générée par IA

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