Retranscription des premières minutes du podcast :
- « Sud Radio Bercov, dans tous ses états, le fait du jour. » « C'est le plus grand des voleurs. Oui, mais c'est un gentleman. Il s'en parle... » « Mais non, Jacques Dutroux, mais non, mais non, mais non. François Bayrou n'est pas un voleur, mais non, non.
- Vous me fondez avec Arsène Lupin, non, non. Un gentleman, peut-être. Un gentleman, je ne sais pas.
- Mais en tout cas, bon, il ne faut pas exagérer. » Et en même temps, et en même temps, c'est très intéressant, parce que François Bayrou est arrivé, donc on ne va pas évoquer, il paraît que...
- Alors certains disent « Mais vous, Veslan, que Macron a été contraint et forcé, parce qu'il lui a dit, quand il lui a dit qu'il va aller prendre Sébastien Lecornu, il lui a dit « Attention, attention, Emmanuel, attention.
- Si tu prends Sébastien Lecornu, tu vois mes 34 débutés modèmes et centristes, tu ne les as plus.
- La motion de censure, elle va arriver... » « Elle va arriver très vite pour celui que tu auras choisi.
- Et on ne va plus être en quatrième république, mais en troisième république.
- Et après, ce sera ton tour, ton tour, Emmanuel. » Et donc Emmanuel a cédé et il a pris François Bayrou.
- Mais, allez, remontons le temps. Rewind, rewind, remontons le temps.
- Et montons à 2017, vous savez, en pleine campagne présidentielle.
- 2017, et face à Jean-Jacques Bourdon, qui était alors...
- Jean-Jacques Bourdin, qui était alors...
- Et bien, voici ce que disait François Bayrou sur Emmanuel Macron.
- Écoutez, ça vaut son pesant.
- « Ça ne marchera pas.
- Et ça ne marchera pas parce que les Français vont voir exactement ce que cette démarche signifie.
- Ce qu'il y a derrière tout ça. » « Mais qu'est-ce qu'il y a derrière ? » « Derrière cet hologramme.
- Il y a une tentative qui a déjà été faite plusieurs fois, de très grands intérêts, financiers et autres, qui ne se contentent plus d'avoir le pouvoir économique.
- Ils veulent avoir le pouvoir politique. » « À travers Emmanuel Macron, ces grands intérêts financiers auraient le pouvoir. » « Et d'ailleurs, c'est très simple.
- Posez-vous une question.
- Pourquoi ces heures et ces heures de télévision en direct ? Pourquoi ces couvertures de magazines ? Pourquoi ces pages et ces pages de photographies couleur autour de sujets qui...
- Enfin, autour d'histoires qui sont, vous l'avouerez, assez vides ? Pourquoi tout ça ? Parce qu'on veut, on a déjà essayé plusieurs fois, essayé en 2007 avec Nicolas Sarkozy, ça n'a pas très bien marché.
- Essayé en 2012 avec Dominique Strauss-Kahn. » « Eh bien, écoutez, ça ne marchera pas, disait François Bayrou, qui avait quand même un sens peut-être pas très aigu du futur.
- Parce que ça a marché en 2017, cher François Bayrou.
- Mais vous avez vu ce qu'il lui envoie ? Il lui envoie du lourd.
- Hologramme, intérêts financiers, c'est eux qui commandent, campagne terrifiant médiatique et tout.
- Eh bien, voilà,...
Transcription générée par IA