Retranscription des premières minutes du podcast :
- Sud Radio Bercov dans tous ses états, le fait du jour.
- YMCA Maud, YMCA, alors c'est vraiment ça nous amène à quand même quelque chose.
- Alors ouais c'était bon, c'est l'euphorie chez les uns, la tristesse chez les autres, évidemment c'est normal.
- Quand il y a une nouvelle intronisation, 47e président de la République, en fait il est intronisé aujourd'hui.
- Aujourd'hui à 18h30 heure de Washington, 18h heure de Paris, on va suivre ça évidemment sur Sud Radio.
- Mais on va commencer à en parler, puis on en parlera demain dans l'émission bien sûr encore.
- Mais pour le moment, on va parler d'autre chose.
- Écoutez, on va parler liberté d'expression.
- D'expression, liberté d'opinion.
- Je vous rappelle que sur les frontons de nos édifices, liberté, égalité, fraternité.
- Ah bon ? Ça en est où ? Il y a une chose qui est interdite en Europe, c'est de censurer une opinion.
- Ça c'est interdit.
- Alors ça c'est interdit de censurer une opinion.
- Très bien, très très bien Thierry Breton, Thierry Breton.
- Mais ce matin, chez Apolline de Malherbe, sur BFMRMC, eh bien il y avait Jean-Noël Barraud.
- Et que disait notre cher Jean-Noël Barraud ? Et que disait notre cher Jean-Noël Barraud ? Écoutez.
- Pour revenir à ce que disait Thierry Breton, et il a raison de le dire, puisque c'est le message que la France a porté depuis des années, nous n'acceptons pas que le débat public soit délocalisé sur des plateformes de réseaux sociaux dont les règles sont fixées par des milliardaires américains ou chinois.
- Ah, qu'en termes galants, ces choses-là sont dites, monsieur le ministre, vraiment.
- Nous n'acceptons pas les oligarques, mais dites-moi, les GAFAM, les plateformes technologiques.
- Les grandes plateformes technologiques, ça l'a fait des années, voire des dizaines d'années, on peut le dire, qu'ils sont de la propriété de milliardaires.
- Et que je sache, nous n'avons pas eu d'immenses protestations quand, justement, sur Twitter, on censurait complètement les activités pour le moins saugrunues et pour le moins glauques de Hunter Biden, le fils de Joe Robinette Biden, quand celui-ci était vice-président de Barack Obama.
- Et les affaires avec la Chine, avec l'Ukraine, et les bat-chiches, et tout ce qu'il y avait, les réseaux et les pactes de corruption.
- Non, on n'en parlait pas. Est-ce qu'on parlait de tout ? Est-ce qu'on parlait aussi de quelques effets peut-être secondaires ou indésirables d'un certain nombre de vaccins ? Non, on n'en parlait pas puisqu'on était considérés comme les complotistes invisibilisés.
- Alors, la liberté d'opinion, oui, mais de quelle manière ? Enfin, de quelle manière ça se passe ? C'est intéressant parce que Thierry Breton, effectivement, qui a commencé à dire que ce n'est pas possible d'accepter la mainmise et l'ingérence d'Alelo Musk.
- Oui, parce qu'avant, on n'entendait pas.
- C'était l'assurance assourdissant quand ça se passait sur Twitter.
- Quand on l'apprend aujourd'hui, vous l'avez vu, on en a parlé que Mark Zuckerberg, le PDG, le fondateur de Facebook, de Meta, d'Instagram et compagnie, qui dit « Oui, j'ai...
Transcription générée par IA