Retranscription des premières minutes du podcast :
- « Ici Sud Radio. Les Français parlent au français. Je n'aime pas la blanquette de veau. Je n'aime pas la blanquette de veau. » « Sud Radio Bercov dans tous ses états. » Juste avant de nous entretenir avec le professeur Didier Raoult, on va parler de cette extraordinaire spécificité de l'Amérique.
- Dieu sait s'il y a des choses bien à l'Amérique, mais Dieu sait s'il y a des choses quand même qui fonctionnent de façon bizarre.
- C'est cette grâce préventive. C'est quand même incroyable.
- On sait que, donc, on l'a su trois heures avant de quitter son bureau présidentiel, mais vraiment à la dernière limite.
- On sait qu'il avait déjà « pardonné » à son fils, inter-Biden. On ne va pas reparler de cela.
- Et puis toute sa famille, toute la famille, absolument Biden, absolument.
- Depuis d'ailleurs le 1er janvier 2014, attention.
- Et la même chose avec, donc, le docteur Anthony Fauci, M. Comi19, M. Santé de l'Amérique, qu'il a également gracié préventivement.
- Alors, qu'est-ce que c'est que cette mot de cofflère ? Vous faites l'émission avec moi. Quelle est cette grâce préventive ? C'est quoi ça ? En fait, les grâces préventives, présidentielles préventives, sont inscrites dans l'article 2, section 2, clause 1 de la Constitution américaine, qui dit ceci en raccourci.
- « Le président aura le pouvoir de gracier de manière illimitée, sauf en cas de procédure de destitution, avant que des poursuites judiciaires ne soient engagées, ou pendant leur exécution, ou après condamnation et jugement. » La grâce préventive ne doit pas dénoter une culpabilité.
- Joe Biden le précise dans son communiqué.
- En l'exprimant de cette façon, l'octroi de ces grâces ne doit pas être interprété comme une reconnaissance de culpabilité pour une quelconque infraction.
- Notre nation doit une dette de gratitude à ses fonctionnaires pour leur engagement inlassable envers notre pays.
- « Dites-moi, professeur Didier Raoult, bonjour. Qu'est-ce que vous pensez de...
- Quand vous avez été poursuivi et attaqué comme vous l'avez été, c'est intéressant cette espèce de pardon présidentiel avant qu'il n'y eût une poursuite.
- C'est-à-dire, je leur pardonne, ils sont absolument, aujourd'hui, immunisés contre, en principe, contre toute poursuite, notamment Fauci.
- Mais voilà, écoutez, il n'y a pas de problème, je suis le président, je peux le faire et je l'ai fait.
- Qu'est-ce que ça vous inspire ? » « D'abord, je crois, je ne suis pas un expert de ça, mais c'est ce que j'ai lu, c'est que c'est la première fois qu'un président utilise une grâce avant qu'il y ait même une enquête qui soit réalisée sur quelqu'un.
- Et quand il dit que ce n'est pas une preuve de culpabilité, ça fait rire.
- C'est-à-dire, on ne voit pas de quoi on peut amnistier quelqu'un s'il n'est pas présumé coupable, à raison ou à tort.
- Donc, moi, ça me frappe, si vous voulez, les gens. J'ai toujours été comme ça.
- Je me méfie des gens qui donnent des leçons de morale. Je me suis toujours méfié de ça.
- Et souvent,...
Transcription générée par IA