Retranscription des premières minutes du podcast :
- Sud Radio Bercov dans tous ses états, le fait du jour.
- Si j'étais président de la République, jamais plus un enfant n'aurait de pensées tristes.
- Je nommerais bien sûr Mickey Premier Ministre.
- Et oui, c'était le temps de l'insouciance, c'était le temps effectivement de Gérard Lenormand, si j'étais président de la République.
- C'est devenu beaucoup plus compliqué, les enfants pas tristes.
- Tout va très très bien, Mickey effectivement, oui, mais quel Mickey, quel Minnie.
- Alors, au fond aujourd'hui, il se passe quelque chose de vraiment intéressant si on regarde le paysage.
- Tout le monde, alors c'est devenu vraiment Emmanuel Macron, il faut le dire, en tout cas à son impopularité.
- On a vu les sondages, ils sont en train vraiment de battre tous les records.
- 18% des Français se disent satisfaits de l'action du chef de l'État.
- Communication quand même un peu bizarre.
- Richard Ferrand qui va être nommé au Conseil constitutionnel.
- Avoir un bon copain, c'est toujours bien certes.
- Les derniers de l'otanien s'en vont.
- Crise sociale, crise financière, c'est pas de majorité pour gouverner, on le voit.
- Le 49-3 à la rescousse, le 49-3 à la rescousse.
- Alors effectivement, Emmanuel Macron, où est-il ? Alors on a vu hier, par exemple, le vice-président des États-Unis, Vance, venir faire son discours et partir sans attendre.
- Ni d'ailleurs celui d'Emmanuel Macron, ni d'ailleurs celui de Ursula von der Leyen.
- Et puis on se dit, qu'est-ce qui se passe ? Est-ce que vraiment, bon, les sondages, la popularité, c'est une chose, mais l'action effective, c'est autre chose.
- Bonjour Guylaine Bénessa. Bonjour Guylain.
- Bonjour André Bercoff, bonjour.
- Alors vous êtes avocat, je rappelle que vous êtes auteur et vous avez reçu pour cela de « On marche sur la tête » aux éditions de l'Artilleur.
- Alors effectivement, on peut se demander aujourd'hui, sans faire un bilan complet, mais quand même, qu'est-ce qui se passe avec Emmanuel Macron ? Les gens se disent, vous voyez, il est là, il a un socle, mais enfin son socle n'est pas vraiment se réduit comme peau de chagrin.
- Et on a l'impression que, alors ses adversaires les plus farouches disent « Oui, c'est Néron, c'est Caligula, c'est n'importe quoi ».
- Les autres disent « Mais non, non, il tient le cap ».
- Selon vous, comment on peut effectivement qualifier ce septennat et un peu plus ? Puisque normalement, et constitutionnellement d'ailleurs, il en a jusqu'à 2000.
- 2027, fin de son nouveau quinquennat.
- Écoutez, très simple, André, il y a une grande réussite chez Emmanuel Macron, il faut lui reconnaître cela.
- Une très grande réussite, c'est la dissolution de l'Assemblée nationale.
- C'est-à-dire que je ne veux pas, là je prends ça en souriant, mais parce qu'en réalité, on se souviendra à mon avis d'Emmanuel Macron comme du président qui a mis en œuvre la dissolution la plus invraisemblable de l'histoire de la Ve République, plus invraisemblable que celle de Jacques Chirac.
- Ah vous, vous trouvez Guylain Bénessa, j'allais vous dire, elle était pas mal la...
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