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Les agriculteurs menacent de nouveaux blocages / Trump de retour en campagne ce mardi après une deuxième tentative d'assassinat présumée / Le procès des viols de Mazan va pouvoir se poursuivre avec Dominique Pelicot


Les agriculteurs menacent de nouveaux blocages / Donald Trump de retour en campagne ce mardi après une deuxième tentative d'assassinat présumée / Le procès des viols de Mazan va pouvoir se poursuivre avec Dominique Pelicot

Retranscription des premières minutes du podcast :

- « C'est radio, parlons vrai. » Les infos avec Laurie Leclerc, on les a oubliées, mais la colère des agriculteurs ne faiblit pas.
- Ils échangent les panneaux des villes et promettent de nouveaux blocages.
- Les autres titres de l'actualité, Laurie.
- Le principal accusé du procès des viols de Mazon devrait bien être présent aujourd'hui.
- Souffrant pendant une semaine, Dominique Pellicot a été autorisée à comparaître.
- La destitution d'Emmanuel Macron à l'Assemblée nationale.
- L'EPS annonce voter contre la proposition de la France insoumise.
- Et puis Donald Trump repart en campagne, 48 heures après une tentative d'assassinat présumée.
- Il sera aujourd'hui dans le Michigan.
- La détresse des agriculteurs n'a pas disparu.
- Et pour se faire entendre, ils conduisent de nouvelles actions coup de poing.
- Dans le Tarn, berceau de la contestation agricole.
- Faute de nouvel interlocuteur au gouvernement, les agriculteurs du département alertent autrement sur leur situation.
- Après avoir retourné, on s'en souvient, les panneaux des villes.
- Les jeunes agriculteurs maintenant les mélangent.
- Le message, Christine Bouillaud, le monde est déboussolé.
- Ne cherchez pas le panneau d'entrée de la ville d'Albi.
- Il a été remplacé par celui de Castres.
- Explique Christophe Régis, le président des jeunes agriculteurs du département.
- On a dépassé ces quelques panneaux.
- Ça a été un petit peu une chose symbolique.
- C'était pour dire de ne pas se tromper sur le fait de la vaccination.
- Qu'il y a de l'argent.
- Que même dans le sud, il fallait vacciner.
- Parce que pour nous, le sud de la France, il est oublié.
- Dans le Tarn, les éleveurs ont comme ailleurs passé un sale été.
- Avec la multiplication des crises sanitaires, MHE ou fièvre catarale.
- Encore vécu par Nicolas Semenoud, 25 ans.
- Il est à la tête d'un élevage de bovins près de Mazamé.
- C'est ça, c'est l'angoisse du matin.
- Quand on se réveille, on ne sait pas en quel état on va retrouver les animaux.
- Du coup, une surveillance accrue quotidienne.
- Et typiquement, ce matin, une vache qui ne se levait plus, qui bavait.
- Donc, suspicion MHE ou FCO.
- Quasi sûr.
- Et après, les bêtes, on ne sait pas si elles vont s'en sortir du tout.
- Alors, l'idée de remonter des actions est désormais dans toutes les têtes.
- Car un an après, rien n'a changé.
- Nous avons des jeunes qui ont 25 ans et même des gens qui ont peut-être 50 ans.
- Qui vont dire qu'on n'a plus rien à perdre.
- Je ne sais pas, on va arriver à faire des manifestations où les mecs vont arriver.
- Ils vont dire, là, il faut péter un truc, là, il faut péter.
- Je ne sais même pas.
- J'espère que je vais me tromper.
- Mais on ne tiendra pas les gens.
- Ça, c'est sûr.
- Autant dire que dans son casting, Michel Barnier, en nommant son prochain ministre de l'agriculture, n'a pas intérêt à décevoir.
- Un reportage de Christine Bouillaud.
- Oui, voilà une colère qu'on n'entend pas à Paris.
- Et pourtant, elle existe.
- Elle est sourde à Paris.
- On est sourd à cette...

Transcription générée par IA

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