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7 octobre, un an après / Gérald Darmanin veut mettre fin aux 35 heures dans le privé / Narchomicides à Marseille


7 Octobre, un an après : témoignage / Gérald Darmanin veut mettre fin aux 35 heures dans le privé / Narchomicides à Marseille

Retranscription des premières minutes du podcast :

- « Il est 8h01. Parlons vrai. » « Merci d'être avec nous. Les informations avec vous, Laurie Leclerc. Laurie, bonjour. » « Bonjour Jean-Jacques, bonjour à tous. » « Avec journée d'hommage aux victimes de l'attaque du 7 octobre. Nous entendrons dans un instant le témoignage d'une habitante du sud d'Israël réveillée il y a un an par des coups de feu. » « Dans le trafic de drogue, un des tueurs présumés est un mineur de seulement 14 ans. » « Sept ans après, le procès en appel du drame de Millas s'ouvre aujourd'hui. » « Six enfants sont morts, 17 ont été blessés dans un accident de car scolaire à un passage à niveau. » « Et puis Gérald Darmanin veut mettre fin à la semaine des 35 heures. » « L'ancien ministre juge que les Français ne travaillent pas assez. » « Il y a un an, le 7 octobre 2023, massacre commis par le Hamas, 1205 morts. » « Les hommages ont commencé tôt ce matin en Israël. » « Et un an après, la mort d'un otage de 28 ans a été annoncée ce matin par le forum des familles. » « Une centaine d'otages restent détenus dans la bande de Gaza, dont deux Français, 1205 personnes ont donc été tuées dans le sud d'Israël. » « Julie, infirmière, a été réveillée par les alertes et les tirs ce matin du 7 octobre 2023. » « Dans notre village, on a dû ouvrir un hôpital de campagne pour avoir les premiers soldats blessés. » « Donc en fait, nous, le 7 octobre, on s'est réveillés. » « On a toutes les applications sur le téléphone pour nous prévenir en cas d'alerte. » « Pas d'alerte du téléphone, en même temps, on s'est fait réveiller par les booms successifs des tirs de missiles des Gazaouis. » « Mais là, on a vite compris que c'était un peu plus grave qu'un petit problème de d'habitude. » « Donc ça, c'était aux environs de 6h30, 7h45. » « Et à 7h30, quand on a commencé à comprendre que c'était un peu plus grave, on a allumé la télévision. » « Et là, on a vu les premières images avec les terroristes à l'intérieur. » « Donc, branle-bas de combat du village, on a organisé un hôpital de campagne, des matelas, une tente. » « On a commencé à s'occuper des premiers soldats. » « C'était des soldats. » Témoignage en micro-sud radio de François-Louis Bourneau.
- En ce qui concerne le chef de l'État, Emmanuel Macron, il doit rencontrer aujourd'hui des familles d'otages.
- Il assure ce matin que la douleur demeure aussi vive qu'il y a un an et assure ne pas oublier ni les victimes ni les otages en Israël.
- Des tirs de roquettes venant de Gaza ont eu lieu ce matin alors qu'à la frontière libanaise, un soldat israélien a été tué et des bombardements ont fait plusieurs victimes hier soir et cette nuit au...

Transcription générée par IA

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