Retranscription des premières minutes du podcast :
- Il est 8h01. Parlons vrai.
- Merci d'être avec nous. Nous allons commencer avec le prix du chocolat, parce que Noël approche. Le prix du chocolat augmente.
- Les balotins, les calendriers de l'Avent vont voir leur prix augmenter. Nous allons y revenir. Mais les autres titres de l'actualité avec vous, Laurie Leclerc.
- Il y aura-t-il une motion de censure sur le budget de la Sécurité sociale ? Le texte a été validé hier en commission mixte paritaire.
- Et il arrive lundi à l'Assemblée nationale. Les motards boycottent le contrôle technique des deux roues. Il est obligatoire depuis avril dernier et sera plus strict en 2025.
- Et puis ce constat, les enfants lisent de moins en moins. Les livres n'ont plus la cote face aux écrans.
- Préparation des fêtes de fin d'année. Les chocolatiers n'ont pas le choix. Ils augmentent leur prix.
- La profession est confrontée à une flambée du cours du cacao depuis 18 mois.
- À conséquence, les prix sont forcément revus à la hausse en boutique durant cette période où le chocolat représente une grande partie de leur chiffre d'affaires.
- Christine Bouillaud, vous avez pu visiter les ateliers de préparation de la maison Nougalet à Trèbes, dans l'Aude.
- Nous sommes dans l'atelier final de la maison Nougalet à Trèbes. Ça sent bon, le chocolat. Et c'est Karine, l'une des 70 employés, qui prépare les coffrets pour les clients.
- On n'est pas loin de l'atelier du Père. Là, on monte les boîtes, on fait les coffrets et on organise en fait les coffrets.
- Dans ces ateliers, sort un rythme soutenu.
- De fait, chocolat, praliné, ganache ou toutes sortes de bonbons qui ont fait la renommée de la maison depuis plus de 70 ans.
- Mais cette année, la spéculation sur le cours mondial du cacao est venue jouer les troubles faites du jamais vu pour le directeur Éric Monterra.
- Une flambée des prix qui est historique. Pour vous donner un ordre d'idée, la tonne de fèves de cacao se négocie à 3 000 euros la tonne.
- Elle est passée à 11 000. Et c'est très compliqué pour la répercussion d'ailleurs pour le public.
- Alors logiquement, les prix ont dû être augmentés. Mais heureusement, le chocolat reste une valeur refus chez les consommateurs.
- Il a fallu qu'on augmente. On n'a pas le choix parce que c'est la survie de nos entreprises. Mais on a essayé de limiter au maximum cette hausse.
- Je dirais que je veux mettre une note positive sur nos produits. On amène du magnésium, on amène de la douceur. Les gens ont besoin de réconfort. Et c'est important.
- Impossible de rater cette période de fête de fin d'année. Cela représente la moitié du chiffre d'affaires de l'entreprise.
- Et les foyers français consomment en moyenne 7 kg de chocolat par an.
- La commission de loi mixte paritaire...
- La commission Sénat-Assemblée nationale a trouvé un accord, un compromis sur le projet de loi de la Sécurité sociale.
- 7 députés et 7 sénateurs, Maxime Trouleau, ont trouvé donc un accord qui...
Transcription générée par IA