Retranscription des premières minutes du podcast :
- « Il est 8h, c'est radio, parlons vrai. » « Les informations avec Laurie Leclerc, Laurie, la guerre en Ukraine, Vladimir Poutine dit oui, oui à un cessez-le-feu de 30 jours, mais sous condition d'explication dès le début de ce journal. » Les autres titres de l'actualité, le ton monte d'un cran dans la bataille commerciale entre les Etats-Unis et l'Europe.
- « Donald Trump menace de taxer à 200% vin et alcool français et européen. » Cinq ans après la pandémie, il s'estime totalement oublié.
- Les malades touchés par le Covid long demandent à être mieux diagnostiqués et reconnus.
- Et puis un classique à haut risque.
- Dimanche, le Paris Saint-Germain reçoit l'Olympique de Marseille en Ligue 1.
- Les clubs craignent que la rencontre ne dégénère entre supporters.
- « Vladimir Poutine n'est pas contraint de cesser le feu en Ukraine, mais sous certaines conditions. » Le chef du Kremlin a tenu une conférence de presse hier.
- Maxime Trouleau, il ne valide pas totalement l'accord entre Etats-Unis et Ukraine.
- « Oui, pour le moment, rien n'est acté.
- Le chef du Kremlin avoue que l'accord passé en début de semaine en Arabie Saoudite entre Américains et Ukrainiens est une bonne idée.
- Mais le chef du Kremlin pose certaines questions sur la poursuite de l'envoi d'armes en Ukraine.
- Comment le cessez-le-feu va être contrôlé ? En clair, dans l'idée, Vladimir Poutine n'est pas contre, mais ne veut pas que ce cessez-le-feu permette aux Ukrainiens de se rétablir pour mieux repartir.
- Il souhaite une paix durable.
- Les fameuses nuances dont le président russe a évoqué hier.
- Il y a donc encore quelques clarifications à apporter.
- Russes et Américains devraient se rencontrer rapidement, ou se sont même peut-être déjà rencontrés.
- Un avion de Steve Witkoff, le monsieur Ukraine de Trump, serait d'ailleurs parti de Moscou ce matin, selon la presse russe.
- Mais il y a une ou deux certitudes détaillées hier, dont on comprend chez Vladimir Poutine qu'elles ne seront pas à marchander.
- Le chef du Kremlin ne signera pas de cessez-le-feu qu'une fois la région russe de Kursk reprise par l'armée russe.
- Et surtout, la présence de troupes de l'OTAN sur le sol ukrainien est impensable.
- Pour Vladimir Poutine, cet accord de paix est donc encore loin d'être trouvé.
- Volodymyr Zelensky, lui, a accusé son homologue russe de vouloir faire traîner les choses.
- Des propos prévisibles et très manipulateurs pour le président ukrainien.
- Et Vladimir Poutine s'est entretenu cette nuit avec le prince hérité saoudien Mohamed Ben Salman, qui dit soutenir toutes les initiatives pour mettre fin à la guerre en Ukraine.
- Le président américain Donald Trump déclare, lui, qu'un rejet de la proposition de trêve par la Russie serait très décevant.
- Les tensions commerciales.
- L'entre-Europe et les Etats-Unis montent d'un cran.
- Trump, Donald Trump menace de taxer à 200%, le champagne, les vins et autres alcools français et européens.
- Ces taxes douanières record reviendraient à tripler le prix de la bouteille.
- Une réponse à la future instauration de tarifs douaniers européens à 50% sur le whisky américain.
- Elle-même en réaction à la taxe américaine sur l'acier et l'aluminium.
- Frédéric Rouanet, président du syndicat des vignerons de l'Aude, appelle les dirigeants politiques à réagir au plus vite.
- Il faut que les dirigeants, femmes françaises et européennes, à un moment, mettent leur courage sur la table et soient bons dans les négociations.
- Sinon, il faudra qu'ils nous donnent des compensations.
- Si, par exemple, nous, ils nous empêchent presque de vendre notre nez aux Etats-Unis, moi, je serais un dirigeant français, je dirais OK, le Coca-Cola, c'est fini, tout ce qui est américain, on arrête.
- Il nous faut des dirigeants, à un moment donné, forts, qui vont protéger la viticulture française et européenne.
- S'ils ne le font pas, nous, on se défendra à notre manière.
- Si on n'a pas cette force-là, on va se faire bouffer par les Américains, par les Chinois, par tout le monde.
- Et le Premier ministre, François Bayrou, n'entend pas céder à ce genre de menaces.
- Oui, comment protéger les PME ? Comment protéger les producteurs ? J'en parlerai à Véronique Louvagie, qui est ministre du commerce de l'artisanat des PME, qui sera mon invitée tout à l'heure à 8h30.
- En...
Transcription générée par IA