Retranscription des premières minutes :
- Il est 8h01 et vous êtes sur Sud Radio, merci vraiment.
- C'est Radio ! Parlons vrai.
- Loïc Leclerc, les dernières informations.
- Nous partons, bonjour, rebonjour, nous partons pour l'Isère.
- Dans un instant, Vancorex passe sous drapeau chinois.
- C'est une entreprise française, usine chimique, qui fabrique un élément indispensable aux missiles français, l'offre de rachat de ses salariés a été jugée irrécevable.
- Les autres titres de l'actualité.
- C'est cher, mais il n'y a pas le choix.
- C'est ce que déplorent les patients, comme les médecins.
- Les voix s'élèvent pour demander la gratuité des parties, des parkings, des hôpitaux.
- Malgré la suspension des surtaxes douanières américaines, le président de la République, Emmanuel Macron, appelle l'Union Européenne à continuer de se protéger.
- Et puis le pic du midi, en très bonne voie pour son inscription au patrimoine mondial de l'UNESCO.
- Dernière audition hier pour classer le sommet de 2877 mètres de haut.
- C'est une usine importante, indispensable à la dissuasion nucléaire française.
- Vancorex va finalement être rachetée par une entreprise chinoise concurrente de Vancorex.
- Les syndicats et le maire dénoncent un abandon de l'État.
- Maxime Trouleau, au moins 250 emplois devraient disparaître.
- Cette usine avait été placée en redressement judiciaire le 10 septembre dernier, car depuis quelques années, Vancorex, propriété d'un groupe thaïlandais, souffrait de la concurrence asiatique et pourrait donc effectivement être rachetée par l'un de ses concurrents, le chinois Wanhua.
- Pourtant, les syndicats se sont battus depuis des semaines, des mois, je cite, pour éviter un gâchis monumental avec une proposition, celle d'une reprise par des salariés via une coopérative.
- Finalement, hier, après des mois d'attente, le tribunal en a décidé autrement.
- Les financements n'en ont pas été réunis, disent-ils.
- Ils ont donc choisi l'offre chinoise qualifiée de solide et pérenne sur l'activité.
- C'est stupeur pour le maire d'Hivergaud.
- De Pont-de-Clay est président de Grenoble-Alpes-Métropole, Christophe Ferrari, qui dénonce un gâchis.
- Et s'en est pris hier au ministre de l'Industrie, Marc Ferracci.
- Je considère que le ministre de l'Industrie avait mis une croix rouge sur ce dossier en disant que de toute façon, il allait fermer.
- Il faut que ce soit dans un pays comme la France, que ce soit les territoires qui se bougent pour tout simplement trouver des solutions.
- C'est un monde à l'envers.
- Nous marchons sur la tête.
- Il n'y aura plus aucun.
- Discours crédible en matière de réindustrialisation de la France aujourd'hui.
- Certains auront des comptes à rendre, dit-il.
- Le maire qui regrette ainsi l'inaction du gouvernement qui avait promis pourtant un engagement à financer la moitié du projet des salariés.
- Mais une annonce qui réjouit certains autres salariés.
- Le projet de la coopérative n'était plus du tout viable, explique-t-il.
- Faisant le constat qu'il n'était plus compétitif et que beaucoup d'entre eux finalement pourront retrouver un emploi derrière.
- Et les explications de Maxime Trôleau ? Oui, il y avait divergence au sein même des salariés.
- Et puis, il va encore être espace du pavillon thaïlandais au pavillon chinois.
- Bon, parce que ça va changer.
- Nous verrons bien.
- La pose dans les droits de douane américains est fragile.
- C'est ce que dit Emmanuel Macron qui appelle l'Europe à se protéger.
- Le chef de l'État ce matin demande à l'Union européenne de mobiliser tous les leviers disponibles et à continuer de travailler sur toutes les contre-mesures nécessaires.
- L'Europe qui a suspendu sa riposte aux États-Unis pour une durée de 90 jours elle aussi.
- Mais qui menace de taxer les géants de la technologie si les négociations n'aboutissent.
- L'affaire Betarham, François Bayrou est convoquée le 14 mai par la commission d'enquête parlementaire.
- L'établissement du Béarnin est au cœur d'accusations de violences physiques et sexuelles.
- Lors des auditions de la commission d'enquête, des témoins clés maintiennent leur accusation contre le Premier ministre.
- Il était au courant, ce que nie François Bayrou.
- Les parkings des hôpitaux, indispensables, on le sait, pour de nombreux patients, surtout les familles des patients, et puis les personnels soignants.
- Eh bien, ces parkings sont payants.
- La plupart du temps, et très chers.
- 10, 15, parfois même près de 25 euros la journée de parking.
- Des opérateurs privés sont à la manœuvre.
- Le ministre de la Santé promet d'intervenir bientôt pour réguler les tarifs avec un...
Transcription générée par IA