Retranscription des premières minutes :
- Il est 8h01, et nous sommes avec Laurie Leclerc.
- C'est radio ! Parlons vrai.
- Laurie Leclerc pour les dernières informations.
- Laurie, des centres pénitentiaires et des surveillants pénitentiaires à nouveau visés cette nuit en Seine-et-Marne et dans les Bouches-du-Rhône.
- Ça a recommencé. Pas de revendication, mais toujours la même inscription.
- D.D.P.F. Droit des prisonniers français.
- Les autres titres de l'actualité.
- Pas de réelles mesures, mais un constat sur la dette.
- Pour François Bayrou, les Français ne travaillent pas assez.
- Réponse immédiate de la France à l'Algérie.
- Après l'expulsion de 12 diplomates français, Paris rappelle son ambassadeur à Alger et expulse à son tour 12 agents consulaires algériens.
- Et puis les prix du carburant à la baisse pendant les vacances de Pax.
- C'est l'une des conséquences de la politique douanière de Donald Trump.
- Seine-et-Marne, Bouches-du-Rhône, le monde pénitentiaire a de nouveau été pris pour cible dans la nuit.
- C'est même un agent pénitentiaire.
- C'est un agent pénitentiaire qui a été visé directement, Maxime Troulot, avec des inscriptions retrouvées dans le hall de son immeuble.
- Oui, c'est 4 lettres, donc.
- D.D.P.F. Droit des prisonniers français, tagué ces derniers jours.
- Mystérieuses inscriptions retrouvées également, donc, cette nuit à Villenois, en Seine-et-Marne, où le hall d'immeuble a été incendie, immeuble dans lequel vit un agent de prison.
- Deux nouvelles voitures, trois en tout, ont été incendées dans le parking du centre de détention de Carrascon, dans les Bouches-du-Rhône.
- Alors, cette question qui se pose ce matin, qui derrière ces attaques ? Le parquet national antiterroriste s'est saisi de l'enquête, avec un travail qui va désormais être mené par la sous-direction antiterroriste de la police judiciaire et la DGSI, attaque simultanée de l'ultra-gauche ou de narcotrafiquants.
- Hier, Gérald Darmanin a tenté d'apporter quelques éléments de réponse.
- Ça ressemble furieusement à ce que j'ai connu quand j'étais mis à l'intérieur, c'est-à-dire souvent des gens qui sont payés quelques centaines, quelques milliers d'euros, qui vont remplir des petits contrats pour pouvoir intimider.
- Alors, on le fait en général entre voyous.
- On le fait rarement contre les forces de la République.
- Mais intimider l'autre.
- Donc le parquet dira ce qui se passera.
- Et beaucoup de preuves vont sans doute s'accumuler dans les prochaines heures.
- Mais il est évident que vu les renseignements que nous avons et vu parfois les difficultés qu'ont les agents pénitentiaires aujourd'hui à faire respecter l'ordre de la République au sein des prisons, qu'il y a une pression assez forte pour que la République recule devant ce régime pénitentiel et lutte contre le narcomanditisme.
- Et inquiétude, donc, ce matin.
- Le ministre de la Justice était hier à Toulon à la prison de la Farled et a évoqué également des groupes sur les réseaux sociaux qui encouragent ce genre de faits.
- Gérald Darmanin.
- Il a assuré un renforcement de la protection des agents pénitentiaires.
- La réponse de l'État va être implacable, pardon, a ajouté le garde des Sceaux.
- Les précisions de Maxime Troloff.
- Oui, le piège de la dette, maintenant, menace la survie de la France.
- Ce n'est pas moi qui le dis, c'est François Bayrou.
- Mais le Premier ministre exclut toute hausse d'impôts encore une fois.
- Eh oui, pas de réelle piste pour l'effort de 40 milliards d'euros supplémentaires en 2026.
- Mais un constat à l'issue du comité d'alerte sur le budget.
- Nous ne produisons et nous ne travaillons pas assez.
- Le Premier ministre.
- Mais toutefois...
- Des lignes rouges pour éponger le déficit.
- Pas de hausse d'impôts qui serait intenable.
- Et pas d'augmentation de l'emprunt de la France.
- Réaction de la patronne de la CGT, Sophie Binet.
- Il faut prendre l'argent là où il est, selon elle, c'est-à-dire taxer le capital, le patrimoine ou encore augmenter les impôts des plus aisés.
- Regain de tension entre la France et l'Algérie.
- Paris a donc rappelé son ambassadeur algé.
- La France expulse également à son tour 12 diplomates algériens.
- Réponse annoncée qui ne s'est pas fait attendre, selon le ministre des Affaires étrangères, Jean-Noël Barraud.
- Hier, au 20h de TF1.
- Les autorités algériennes ont fait le choix de l'escalade.
- Et donc, nous répliquons avec fermeté, comme nous l'avions annoncé.
- Avec fermeté, avec la plus stricte réciprocité.
- 12 fonctionnaires français de notre ambassade à Alger ont été...
Transcription générée par IA