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Marseille : près de 87 impacts de plombs sur un collège / Meurtre de Philippine : ses obsèques organisées ce vendredi à Versailles / Israël rejette une proposition de cessez-le-feu avec le Hezbollah


Marseille : près de 87 impacts de plombs sur un collège / Meurtre de Philippine : ses obsèques organisées ce vendredi / Israël rejette une proposition de cessez-le-feu avec le Hezbollah

Retranscription des premières minutes du podcast :

- « Et bonne journée à l'écoute de Sud Radio, nous sommes le vendredi 27 septembre, il est 5h. » « Parlons vrai. » « Et on retrouve Laurie Leclerc pour le journal. Bonjour Laurie. » « Bonjour Maxime, bonjour à tous. » « À Marseille, 87 impacts de plomb découverts sur un collège. Les dealers vendent et recrutent jusqu'aux portes de l'établissement. Les autres titres, Laurie ? » Les obsèques de Philippines, aujourd'hui à Versailles, une semaine après le meurtre de l'étudiante, l'émotion est toujours aussi forte chez ses camarades.
- Israël refuse le cessez-le-feu de 21 jours avec le Hezbollah. Les Libanais de France sont inquiets pour leurs proches restés sur place.
- Et puis 1500 patients se retrouvent sans médecin. Un village au pied des Pyrénées devient un désert médical. Nous entendrons la mer de la Barthe-Rivière.
- On se rend à Marseille ce matin, donc, où un établissement scolaire est criblé de balles.
- Les cours ont repris dans la crainte au collège mal armé.
- Un point de deal se trouve tout près de ce collège du 13e arrondissement de Marseille.
- Après deux jours sans classe, les professeurs ont exercé leur droit de retrait.
- Les cours ont repris hier. La présence policière va être renforcée.
- Un travail de prévention sera fait en classe pour éviter, Lionel Maillet, que les élèves tombent aux mains des réseaux.
- La police à la sortie des cours, ça ne rassure pas vraiment ces élèves de 4e qui voient la réalité du trafic de drogue au quotidien.
- « Quand on fait le sport juste derrière l'établissement... » « Ils vont devant nous, ils guettent devant nous, ils crient devant nous. » « Ils ont juste des lunettes ou un masque. Ils ont, on va dire, entre 14 et 19 ans. » « Ça nous met mal à l'aise et on a peur aussi. » « Donc, s'il y a un règlement de compte, on peut se prendre une balle perdue à tout moment. » « La police, elle ne va pas rester une éternité aussi. On ne va pas être protégés toute l'année. » Le danger, c'est aussi que ces jeunes soient recrutés par les réseaux.
- Un travail de prévention sera fait en classe. C'est l'inspecteur d'académie Jean-Yves Bessol.
- Une intervention éducative qui devrait ne pas se faire qu'en une seule fois.
- « Que la préfecture de police décline dans un certain nombre d'établissements, en appui notamment sur des grands témoins qui ont été directement touchés. » Pour travailler près de la cité de la Castellane, dans les quartiers nord de Marseille, cette professeure connaît bien le problème.
- « C'est vrai que pour nos élèves, ils les considèrent un peu parfois comme des modèles, voire des héros. » « Il y a un peu cette espèce de fascination. » « Ce n'est pas facile pour leur expliquer que derrière l'argent facile, il y a des morts aussi. » Message qui a d'autant plus de mal à passer que parfois c'est un frère ou un ami.
-...

Transcription générée par IA

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