Retranscription des premières minutes :
- « Je vous souhaite un très bon réveil avec Sud Radio, c'est votre petit matin, il est 5h. » « Parlons vrai. » « Et le journal de 5h en ce jeudi 24 avril, c'est avec vous Laurie Leclerc. Bonjour Laurie. » « Bonjour Benjamin, bonjour à tous. » « Un soutien affiché mais pas d'annonce. François Bayrou, Gérald Darmanin et Bruno Retailleau étaient hier au chevet des agents pénitentiaires à Saint-Quentin-Falavier dans l'ISER. Les autres titres de l'actualité, Laurie ? » Le lycée musulman Averroès de Lille retrouve son contrat avec l'État. La justice administrative annule la décision de la préfecture.
- ArcelorMittal annonce la suppression de plus de 600 emplois en France. 7 sites du géant de l'acier sont concernés.
- Et puis au Vatican, 20 000 personnes ont rendu hommage au pape. Hier, 200 000 fidèles sont attendus à Rome pour les funérailles du souverain pontife samedi.
- Le gouvernement affiche sa solidarité face à la vague d'attaques.
- « Des attaques contre des prisons et des agents pénitentiaires. Pour le Premier ministre, cette violence inédite vient des narcotrafiques. » Ces attaques montrent que le gouvernement a visé juste, selon François Bayrou. Il s'est rendu hier en ISER à la prison de Saint-Quentin-Falavier, accompagné du ministre de la Justice Gérald Darmanin et de celui de l'intérieur Bruno Retailleau.
- Une marque de soutien, Clément Barguin, mais peu de solutions qui ont été apportées.
- Le gouvernement au chevet des agents pénitentiaires, c'est avant tout le message passé hier par le Premier ministre François Bayrou.
- « Pour leur manifester notre reconnaissance, notre gratitude et notre soutien. Notre présence signifie que nous sommes absolument déterminés. Et d'une certaine manière, ces attaques montrent que l'action du gouvernement et de l'État touche juste. » Une visite d'une heure et demie à la prison de Saint-Quentin-Falavier, bien accueillie par les personnels pénitentiaires. Didier-Louis Hinson, secrétaire régional FO Justice.
- « C'est une très bonne chose. Ça montre quand même qu'il y a une prise de conscience. » « Ce qui se passe actuellement. Mais par contre, au niveau des annonces, nous avons été déçus quand même. » En dix jours, 65 faits d'agressions ou d'attaques ont été recensés. Les syndicats attendent maintenant des mesures concrètes.
- David, secrétaire général adjoint UFA, punsa justice PACA Corse.
- « Ils gardent leur force pour se déplacer, à essayer de mettre en place et à débloquer des budgets pour faire en sorte que les agents et les établissements soient sécurisés.
- Pour un recrutement des équipes locales de sécurité pénitentiaire aussi, pour assurer la sécurité périmétrique, la sécurisation des parkings, personnel. » L'origine de ces actions, sans doute coordonnées selon le Premier ministre, reste toujours floue. L'enquête se poursuit, assure le parquet national antiterroriste.
- Et la proposition de loi contre les narcotrafiques pourrait être définitivement adoptée à la fin du mois.
- En marge de son déplacement dans l'Isère, François Bayrou a régi aux révélations de sa fille sur les violences qu'elle dit avoir subies à Bétarame.
- « Ça me poignarde le cœur », a déclaré le Premier ministre. « Que l'on n'ait pas su et que des dérives de cet ordre aient eu lieu, pour moi, c'est presque insupportable. » Hélène Perlan, la fille aînée de François Bayrou.
- François Bayrou a révélé dans Paris Match avoir été victime de violences physiques lors d'un camp d'été organisé par la Congrégation du lycée privé catholique du Béarn.
- À Lille, le lycée musulman Averroès récupère son contrat avec l'État.
- La décision judiciaire était attendue après une rupture du contrat qui avait fait grand bruit en décembre 2023.
- Décision prise à l'époque par la préfecture du Nord, retoquée hier par le tribunal administratif.
- Le lycée salue une décision d'apaisement, mais le feuilleton judiciaire, Amélie Béguin, n'est pas vraiment terminé.
- Oui, le lycée musulman Averroès et l'État sont à nouveau liés.
- Les manquements reprochés à l'établissement ne sont pas avérés.
- La justice pointe même des irrégularités dans la procédure de l'époque.
- Le directeur de l'établissement exprimait son soulagement hier, mais beaucoup reste à faire.
- Il espère maintenant récupérer rapidement les subventions de l'État, 250 000 euros par an, mais aussi celles de la région Hauts-de-France, 300 000 euros.
- Et bien sûr, la prise en charge de la rémunération...
Transcription générée par IA