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Comment choisir le bon partenaire


Retranscription des premières minutes du podcast :

- Brigitte Lay, Sud Radio, le Love Conseil.
- Eh bien Arthur Vernon, voilà mon Love Conseil, comment choisir le bon partenaire.
- Alors je ne parle pas d'un bon partenaire sexuel, je parle du bon compagnon.
- C'est vrai que nos choix amoureux répondent à des critères difficiles à contrôler.
- On sait qu'il y a une part comme ça inconsciente, quand notre corps et notre cœur s'enflamment.
- Et en fait on n'a pas une grande marge de manœuvre.
- Donc lorsqu'on décide de s'engager, mieux vaut être à peu près sûr de ne pas se tromper.
- Et durant les trois premiers mois, en règle générale, à cause de nos fameuses hormones, il peut s'avérer tout à fait impossible de juger quoi que ce soit.
- Et tout indice négatif est souvent noyé dans le flot de nos émotions totalement exacerbées.
- Donc mon love conseil.
- Mon conseil c'est bien de ne pas décider d'habiter définitivement ensemble trop tôt.
- L'idéal étant au moins d'attendre six mois.
- Six mois parce qu'au bout de six mois quand même, on peut avoir des impressions négatives qui vont faire surface et qu'on pourra examiner un peu plus sérieusement.
- Et puis je conseille aussi d'écouter les remarques que pourraient faire certains de vos proches en général.
- Les proches n'ont pas les lunettes roses.
- Regardez notre partenaire.
- Et ensuite, si vous décidez donc de réellement vous engager avec la personne que vous avez rencontrée, eh bien, il y a quand même deux, trois questions qu'on peut se poser ensemble, sur lesquelles on peut communiquer.
- Est-ce que vous avez les mêmes projets de vie, les mêmes ambitions, les mêmes goûts ? Parce que si c'est l'amour et le désir qui créent une attirance et qui fait démarrer la relation, eh bien c'est quand même ces caractères plus ou moins réciproques qui vont permettre de balancer.
- Ça attire une histoire commune et une trop grande asymétrie, c'est forcément un handicap.
- De même que si sexuellement ça ne va pas vraiment extraordinairement bien, eh bien ne pensez pas que ça va s'arranger.
- J'entends souvent quand je pose la question, mais est-ce que c'était bien au début ? Non, mais je pensais que ça s'arrangerait.
- Non, non, non, un obsédé sexuel ne pourra pas être heureux avec une femme frigide, Arthur Vernon.
- Je rejoins en tout ce que vous avez dit.
- Oui, je crois que c'est important.
- Et c'est fou d'ailleurs comment on a toujours envie de rêver, de voir les choses comme on en vit, et forcément en amour plus que tout.
- Ça je pense que c'est aussi une programmation inconsciente du cerveau.
- Et il y a une illusion de la passion amoureuse qui invite évidemment à la prudence lorsqu'on sait que c'est justement une illusion et pas complètement la réalité.
- Il faut le savoir, donc c'est bien de le dire.
- Voilà, c'est bien de le dire et de le répéter.
- .

Transcription générée par IA

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