Retranscription des premières minutes du podcast :
- Le meilleur de Sud Radio. Bienvenue sur Sud Radio. Nous sommes ensemble pour une demi-heure pour passer en vue avec vous les temps forts de la semaine sur Sud Radio.
- Les temps forts de la semaine, c'était évidemment cet événement outre-Atlantique, l'élection de Donald Trump. Vous l'avez vécu en direct sur Sud Radio avec Jean-Jacques Bourdin et tous ses invités.
- On a commencé très tôt à sentir que le vent avait tourné et que l'Amérique était frappée par une vague rouge. Eh bien, vous allez le revivre avec Jean-Jacques Bourdin et ses invités.
- L'une était en direct de Philadelphie. Elle sentait déjà cet état-clé tomber en faveur de Donald Trump. Elle vous le racontera. Nous allons aussi tirer les premières leçons que nous avons tirées mercredi matin avec Jean-Jacques Bourdin et ses éditorialistes.
- Trump de retour à la Maison-Blanche. Qu'est-ce que ça change pour nous, les Français ? C'est ce qu'on va voir avec Jean-François Akili.
- Et Maxime Liedot. Autre temps fort de la semaine, c'était avec le premier flic de France, le ministre de l'Intérieur.
- Avant même les annonces officielles de ce vendredi, il détaillait les premières pistes de son combat contre le narcotrafic. C'était sur Sud Radio. C'était Bruno Retailleau. Il était avec Jean-Jacques Bourdin.
- Sud Radio, l'invité politique, Jean-Jacques Bourdin.
- C'était l'événement ce matin sur Sud Radio. Notre invité politique ce matin est Bruno Retailleau.
- Ministre de l'Intérieur, Bruno Retailleau, bonjour.
- Bonjour Jean-Jacques Bourdin.
- Merci d'être avec nous. Je commence, évidemment, nous allons parler de la lutte contre le narcotrafic, de l'immigration, de l'insécurité.
- Évidemment, ce sont les sujets majeurs actuels. Mais je voudrais revenir sur ce qui s'est passé hier soir.
- Pour commencer, au Parc des Princes, Ligue des Champions, le match PSG-Atletico-Madrid, un tifo d'une grande bâche déployée, tribune Auteuil, par des supporters du Paris Saint-Germain, le slogan Free Palestine. Jusque-là, pas trop de problèmes. Mais, mais, une carte où l'État d'Israël n'existe plus est le portrait d'un combattant du Hamas.
- On parle du portrait, du porte-parole du Hamas. Est-ce que le Paris Saint-Germain doit être sanctionné ? Eh bien, écoutez, je ne m'interdis rien. Je vais demander des explications au Paris Saint-Germain. C'est inacceptable. C'est une bâche, quand même, de dizaines de mètres carrés.
- Un, les règlements du foot, de l'UFA, etc., interdisent les messages politiques. C'est un message politique.
- Deux, je veux rappeler, quand même, que le Hamas, on a malheureusement commémoré les attentats du 7 octobre.
- Si on réduit le nombre de morts par rapport à la population israélienne, si on fait le parallèle nombre de morts par rapport à la population française, c'est comme si, nous, on avait eu plus de 8 000 morts. Vous vous rendez compte ? C'est comme si, aujourd'hui encore, on avait plus de 700 occasions.
- Et je ne comprends pas qu'on veuille la paix. Bien sûr, je voudrais que ça cesse. Moi aussi.
- Mais Bruno Rotailleau...
- Mais les otages. Qui parle des otages ? Oui, d'accord. Mais là, je voudrais parler de ce qui...
Transcription générée par IA