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Par avec Prisca Thevenot

Avec Prisca Thevenot, députée Ensemble pour la République des Hauts de Seine et ancienne Ministre


Prisca Thevenot, députée Ensemble pour la République des Hauts de Seine et ancienne Ministre, est l'invitée politique de Sud Radio
Les invités

Retranscription des premières minutes du podcast :

- Sud Radio, l'invité politique. Patrick Roger.
- 8h38 sur Sud Radio, mon invité politique, Priska Thévenot, députée Ensemble pour la République des Hauts-de-Seine, ancienne ministre et ex-porte-parole du gouvernement Attal. Bonjour.
- Bonjour, Patrick Roger.
- Avec vous, alors, nous allons parler budget, quel soutien de votre parti Ensemble pour Michel Barnier, de Gabriel Attal aussi, dont vous êtes proche, qui est en piste pour reprendre le parti et en ligne de mire 2027.
- On va l'aborder tout à l'heure. Et puis peut-être aussi, tiens, de la rencontre entre Emmanuel Macron et Bruno Retailleau.
- Et on parle de nouveau de la loi immigration, que vous avez bien connue il y a tout juste un an.
- Donc les débats sur le budget ont commencé hier soir. Moins tendu que prévu, Priska Thévenot, vous y étiez.
- Vous remettez une médaille à LFI, là, parce que vous aviez dit cet été que c'était la médaille d'or de l'indécence et de l'antifrance pour LFI.
- Ah non, non, mais je maintiens ce que j'ai dit cet été sur la France.
- Et puis on va remettre un peu peut-être les pendules à l'heure. C'est qu'effectivement, le texte sur le budget est arrivé hier soir dans l'hémicycle.
- Mais en réalité, il était arrivé il y a une semaine à l'Assemblée. Il a été étudié en commission des finances.
- Et là, on a eu un spectacle à la hauteur de la France insoumise, c'est-à-dire taxes, impôts, retaxes, reimpôts pour tout le monde et tout le temps.
- L'enjeu que nous avons eu hier avec l'arrivée du texte dans l'hémicycle, c'est qu'on était déjà sur les prises de parole des groupes, de chaque groupe politique.
- Donc en fait, les débats n'ont pas réellement commencé.
- C'est la position des uns et des autres qui va se continuer d'ailleurs tout à l'heure après la session de questions au gouvernement.
- Et le dur du débat va commencer à arriver dans la suite.
- Si ça peut se passer dans le calme et le respect des uns et des autres, c'est pas que j'y crois pas.
- C'est pas que j'y crois, c'est que je l'espère.
- Maintenant, l'enjeu qu'on va avoir, c'est au-delà d'un enjeu de forme, c'est un enjeu de fond.
- Et nous sommes sur une démarche où nous sommes sur un budget de redressement.
- Ah, vous dites budget de redressement.
- Budget de redressement.
- Oui, c'est ça, c'est ça.
- C'est pas un budget de l'austérité.
- C'est ce qu'a d'ailleurs dit Antoine Armand.
- Mais il faut regarder et appeler un chat un chat.
- Notre langue française est suffisamment riche pour qu'on puisse employer les bons mots dans les bons contextes.
- C'est un budget de redressement des comptes publics.
- Et donc par rapport à ça, eh bien oui, on a besoin de réelles propositions qui vont pas nous faire revenir en arrière sur le sujet de l'attractivité de notre pays, sur le sujet de notre capacité à créer de l'emploi.
- Pourquoi ? Parce qu'avant de distribuer des richesses, il y a quelque chose d'assez simple.
- Il faut les...

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