single-emission.php

Par avec Jean Petaux

Comme Nicolas Sarkozy, soutenez-vous les positions de Bruno Retailleau sur l'État de droit et l'immigration ?


“L’immigration n’est pas une chance pour la France”, lance Bruno Retailleau qui regrette de ne pas pouvoir faire de référendum sur le sujet. “L’État de droit n’est pas intangible”, ajoute le ministre de l’Intérieur. Des déclarations qui provoquent la consternation de la présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet. Mais Nicolas Sarkozy apporte un soutien appuyé à Bruno Retailleau, regrettant que tout propos sur l’immigration soit ramené au pire de l'extrême droite. On en parle avec le politologue Jean Petaux.
Les invités

Retranscription des premières minutes du podcast :

- Les Vraies Voix Sud Radio, le grand débat du jour.
- Nous ne sommes qu'au début de la crise migratoire.
- L'immigration n'est plus une chance pour la France.
- M. Retailleau a dit beaucoup de choses et dans l'ensemble je soutiens M. Retailleau.
- Et il faut réduire drastiquement les flux migratoires.
- Je dirais l'immigration est un problème.
- Il faut arrêter le chaos migratoire qui mènera sinon à une guerre civile.
- Mais une autre hypocrisie, c'est l'hypocrisie d'une gauche qui a transformé le débat sur l'immigration en un débat de posture et jamais de solution.
- L'immigration n'est pas une chance pour la France, lance Bruno Retailleau qui regrette de ne pas pouvoir faire de référendum sur le sujet.
- L'état de droit n'est pas intangible, ajoute le ministre de l'Intérieur alors que Nicolas Sarkozy lui apporte son soutien à ces déclarations qui provoquent quand même la consternation de la présidente de l'Assemblée nationale, Yael Brunpive.
- Alors parlons vrai, est-ce que les positions de Retailleau vont créer une scission au sein de la majorité, je mets des guillemets à majorité, très relative avec les macronistes ? Surtout les macronistes de gauche qui sont vent debout.
- Est-ce de bonne alloi à la veille du discours de politique générale de Michel Barnier ? Et à cette question, comme Nicolas Sarkozy, soutenez-vous les positions de Bruno Retailleau ? Vous dites où à 84% ? Vous voulez réagir ? Audatons vos appels au 0826 300 300.
- Et notre politologue presque préféré, parce que c'est vrai qu'on a la chance d'être très bien fourni, Jean Poteau est avec nous, merci d'avoir accepté notre invitation aujourd'hui.
- Philippe Bilger, vous qui appréciez beaucoup Bruno Retailleau, Si vous me le permettez, je vais procéder de manière très laconique sur 3-4 points, parce que je pourrais être intarissable là-dessus.
- Premier point, j'approuve absolument ce qu'a dit Nicolas Sarkozy, et ça n'est pas fréquent chez moi.
- Deuxième élément, lorsque vous posez cette question à Jean Poteau, c'est de la com', je me permets d'indiquer que Bruno Retailleau a toujours pensé ce qu'il a dit.
- Par conséquent, il n'y a pas là une stratégie ou une tactique qui vise à surfer sur l'opinion publique.
- Troisième élément, j'approuve totalement ce qu'a dit Bruno Retailleau, et très immodestement, je me permets de le dire, parce que je l'ai toujours pensé.
- Quatrième élément, et j'ai presque fini, j'aime énormément le fait qu'il dise que l'État de droit, ça n'est pas uniquement la défense des transgresseurs.
- Il faut imaginer un État de droit qui deviendrait également une sauvegarde pour la majorité des honnêtes gens.
- Et dernier élément, j'aime énormément ce qu'a dit Bruno Retailleau, pas hier, mais avant-hier, lorsqu'il dit « la majorité parlementaire est ce qu'elle est », mais il est important pour moi d'être déterminé.
- Il est fondu par une majorité nationale.
- Oui, évidemment, je m'inscris complètement en faux.
- Je pense qu'il y a quelque chose qui est en train de se fracturer, définitivement.
- C'est la première fois qu'un ministre de l'Intérieur raconte droit dans les...

Transcription générée par IA

Revenir
au direct

À Suivre
/