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Gabriel Attal est-il l'héritier naturel d'Emmanuel Macron pour une candidature à la présidentielle ?


Elisabeth Borne laisse le champ libre à Gabriel Attal pour prendre la tête de Renaissance, le parti macroniste. Il n’y aura finalement pas de duel d’anciens Premiers ministres ! Ce n’est pas un retrait, selon Elisabeth Borne, mais un accord avec celui qui lui avait succédé à Matignon. On en parle tout de suite !

Retranscription des premières minutes du podcast :

- Les Vraies Voix Sud Radio, le grand débat du jour.
- Mesdames et messieurs, 8 mois, c'est court. C'est trop court.
- Et je ne le cache pas, il y a évidemment une frustration à quitter mes fonctions au bout de 8 mois seulement.
- Il sera donc candidat au poste de secrétaire général du parti Renaissance et il sera vraisemblablement élu en décembre prochain puisqu'il est désormais le seul à concourir.
- C'est Gabriel Attal, il a donné une longue interview au point publié aujourd'hui et voilà ce qu'il dit.
- J'ai une histoire à écrire avec les Français.
- Le braquage est presque parfait. Il est parvenu à se faire élire patron du groupe des députés et bientôt patron du parti.
- C'est un cumul complètement inédit.
- Le lien que nous avons est ce que j'ai de plus précieux. Comptez sur moi pour continuer à le tisser.
- Elisabeth Borne laisse donc le champ libre à Gabriel Attal pour prendre la tête de Renaissance, le parti macroniste.
- Il n'y aura donc finalement pas de duel d'anciens premiers ministres.
- Ce n'est pas un retrait selon Elisabeth Borne mais un accord avec celui qui lui a succédé à Matignon.
- Alors parlons vrai, est-ce que Gabriel Attal ce n'est pas finalement Emmanuel Macron en plus jeune ? Pensez-vous qu'il est taillé pour l'Elysée ? Et à cette question, Gabriel Attal est-il l'héritier naturel de Macron pour une candidature à la présidentielle ? Vous dites oui je le souhaite à 3%, oui je le crains à 43%, non à 54%.
- Et même si vous avez un quatrième, un cinquième ou un sixième avis, au délai Vraie Voix, attendez votre avis au 0826 300 300.
- Et on en parle bien entendu avec nos Vraies Voix.
- Et la question de se dire, est-ce qu'Elisabeth Borne avait-elle vraiment le choix ? Non mais ce qui me frappe tout de même c'est de voir à quel point Emmanuel Macron parfois peut être lucide.
- Il avait un arbitrage à faire.
- Au fond, il aurait pu à un moment donné...
- C'est la meilleure question, je pense.
- A un moment donné, favoriser Elisabeth Borne et dire à Gabriel Attal, vous avez déjà une chose, vous n'aurez pas l'autre.
- Mais je crois que dans le rapport qu'Emmanuel Macron entretient avec Gabriel Attal, il y a un mélange de répulsion-fascination.
- Il est jaloux de Gabriel Attal, je crois, et en même temps il comprend que le travail qu'il a fait pour le parti, et peut-être le futur, pourrait lui permettre de sauver un petit peu du macronisme.
- Mais j'ajoute, et je termine là-dessus, c'est qu'en quelques jours, voire en quelques semaines, j'ai l'impression que l'étoile de Gabriel Attal pour le futur présidentiel a pris un petit peu de plomb dans l'aile.
- Je veux dire, si j'avais du temps, je le développerais, mais je ne veux surtout pas ne pas entendre les points de vue qui vont être passionnants.
- C'est toujours le problème de la position institutionnelle.
- Parfois, quand vous redescendez du piédestal qu'est Matignon, ou même, regardez,...

Transcription générée par IA

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