Retranscription des premières minutes du podcast :
- Les Vraies Voix Sud Radio, le grand débat du jour.
- Un couteau géant selon les termes du fabricant, avec une lame de 22 cm, prisée des randonneurs.
- Voici le modèle le plus souvent utilisé par les jeunes délinquants à Paris d'après les autorités.
- En France, 10 397 attaques à l'arme blanche ont eu lieu l'an dernier.
- Quand on a un couteau c'est pour tuer, surtout si on frappe au ventre.
- Plan couteau est lancé.
- Un homme de 27 ans est mort lardé de couteau en pleine rue.
- C'était hier soir à Livry-Gargan, en Seine-Saint-Denis, après une élève de 15 ans au nord de l'Angleterre.
- Deux exemples récents du fléau des armes blanches.
- Le premier ministre britannique promet lui une loi quand la ville de Paris vient de présenter un plan couteau.
- Alors parlons vrai, est-ce que vous envisagez vous de vous armer, pas automatiquement avec des armes létales, mais une bombe lacrymogène par exemple, pour vous défendre ? Et à cette question, faut-il une politique globale contre les armes blanches ? Vous dites oui à 5.
- 53% ! On attend vos témoignages au 0826 300 300.
- Et avec nous pour en parler, Jean-Christophe Cuvy est avec nous, secrétaire général du syndicat Unité.
- Bonsoir Jean-Christophe Cuvy, merci d'être avec nous.
- Et Christian Jouni, patron de boîte de nuit, délégué général du syndicat national des discothèques et lieux de loisirs.
- Et comme nous avons deux invités, Christian Jouni, première question.
- Dans les boîtes de nuit, c'est pour ça que j'ai voulu vous avoir au téléphone, il y a pas mal aujourd'hui de...
- de patrons de boîtes de nuit qui montrent, après avoir fait des fouilles, le nombre de couteaux de leurs clients avant de rentrer dans la boîte de nuit.
- Oui, je pense qu'il faut faire attention. Tout d'abord, bonjour.
- Bonsoir.
- Bonsoir. Pardon, je ne vous ai pas dit bonsoir. Je recommence. On annule l'émission, on recommence. Pardon.
- Non, je crois qu'il faut faire attention à une généralisation du processus.
- Les phénomènes de violence que nous connaissons aujourd'hui sur l'ensemble du pays sont évidemment...
- Les discothèques n'échappent pas, comme tous les rassemblements festifs.
- En revanche, ce que je peux dire, c'est qu'un grand nombre de moyens ont été mis en oeuvre, notamment des moyens techniques, mais aussi des moyens humains, pour essayer de faire face à ce genre de situation.
- Donc, dire que les discothèques sont l'objet de violences, particulièrement avec des armes blanches aujourd'hui, ce n'est pas vrai.
- Ces lieux restent quand même des lieux sécures.
- Bien évidemment, la vigilance doit être au quotidien, j'allais dire permanente.
- Mais c'est parce que vous avez mis en place des choses que la sécurité est de retour.
- C'est ça que vous voulez dire.
- Oui, vous connaissez particulièrement le milieu.
- Je crois que les discothèques doivent rester des lieux festifs.
- Ce sont des rassemblements de personnes complètement hétéroclites.
- Vous avez plusieurs centaines de personnes qui font la fête dans un même lieu.
- Donc, ça nécessite évidemment un certain nombre de mesures.
- Sur les...
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