Retranscription des premières minutes du podcast :
- On parle auto, ensemble ! Sud Radio, on parle auto et de sécurité.
- Avec Autosécurité, prenez rendez-vous en ligne pour votre contrôle technique dans un de nos 900 centres sur autosécurité.com Paris sera-t-il bientôt en fourrière ? Je vous reconnais bien là dans l'écriture du titre, l'ami Jean-Luc, on va en parler avec Jean-Claude Dugény, qui est président Île-de-France chez Mobiliance, mais également président de la FORPA, et qui est avec nous, bonjour M. Dugény ! Bonjour Jean-Claude ! Bonjour Laurence, bonjour Jean-Luc, heureux de vous entendre ! Et puis nous avons également Luc Lebaron, qui est dépanneur, fier d'être dépanneur d'ailleurs, c'est l'association dont il est à l'origine, vice-président de la branche d'épanage de Mobiliance.
- Bonjour M. Lebaron ! Bonjour Laurence, bonjour Jean-Luc ! Jean-Claude, Luc, on va tout de suite parler de ce qui risque de nous arriver, et après on expliquera le pourquoi du comment.
- Vous prévoyez de bloquer certains axes parisiens mercredi prochain ? Je crois que ça a changé, non ? Ça a changé ? Oui, je vous comprends bien.
- Ça a changé Jean-Luc, pourquoi ? Pourquoi ? Parce que ça c'est important.
- Je reviens un petit peu en arrière pour que ce soit plus compréhensible.
- Le 18 juin, une décision que la CEDEVQ voulait retrouver sous le régime de la fourrière a été la goutte d'eau qui a fait déborder le vase, et nos entreprises qui étaient déjà au bord de l'étouffement ont réagi en souhaitant un mouvement d'ampleur.
- Simplement, depuis nous avons eu des promesses, et surtout l'annulation de cette décision qui nous fait espérer que nous allons pouvoir négocier sur le reste de nos souhaits.
- Voilà, donc ce mouvement est suspendu mais pas annulé.
- Ça veut dire quoi ? Ça veut dire que déjà nous traversons une crise politique et qu'il est difficile de converser normalement.
- Ça veut dire que nous reviendrons bien entendu en janvier sur la possibilité de faire un mouvement d'ampleur s'il n'y a pas d'avancées spectaculaires sur le reste de nos souhaits, de nos négociations à venir.
- Monsieur le Génie, on a eu de la chance quand même, ce rendez-vous s'est passé la semaine dernière, c'était jeudi, avant la censure parce que sinon vous étiez de nouveau un peu recalé, vous.
- Vous aussi.
- Tout à fait.
- Alors je voudrais qu'on place les choses parce que tu sais Jean-Luc, on n'aime pas les fourrières, on va être d'accord, on va dire la vérité, nous les automobilistes, on n'aime pas la fourrière.
- Et aujourd'hui, sur Sud Radio avec On parle auto, on vous défend.
- Et ça c'est important de bien expliquer ce qui se passe.
- On vous défend parce qu'il y a des choses quand même extrêmement bizarres, vous avez des véhicules...
- Alors il y a des points, vous m'avez dit, il y a deux grands dépôts de fourrières en Ile-de-France où ne sont pas stockées les voitures, par exemple, de Laurence quand elle est garée sur un passage piéton, voilà, mais où sont stockées des voitures sous-cellées...
Transcription générée par IA