Retranscription des premières minutes du podcast :
- Sud Radio, le supplément média.
- Le supplément média avec un ami de la maison, Yvan Cujous.
- Bonjour Yvan.
- Coucou Valérie, coucou Gilles, bonjour.
- On est ravis de vous accueillir dans l'émission Média.
- Vous changez de case pour une fois évidemment.
- Tous ceux qui écoutent Sud Radio savent que vous animez avec talent le loft musique, le loft sur Sud Radio.
- Mais là on vous retrouve pour, vous êtes dans votre élément, on vous retrouve pour une série que vous avez entamée, on vous avait reçue pour en parler, nos maisons enchantées.
- Vous aviez consacré ce premier numéro à Charles Trenet.
- Et on va vous retrouver dimanche sur France 3 à 15h55 dans la maison de Gilbert Becaud.
- C'est un enchantement, c'est une petite parenthèse enchantée.
- On va se retrouver dans les bois, dans la campagne avec vous, auprès de la fille de Gilbert Becaud.
- Qui vous a ouvert sa maison.
- Comment vous arrivez à convaincre les familles de vous ouvrir ces lieux ? En fait, Gilbert Becaud, il y a quand même une espèce d'injustice autour de son oeuvre qui est absolument fabuleuse, qui a fait le tour du monde pour certaines chansons qui sont devenues des standards internationaux.
- Et c'est vrai qu'il n'y a pas peut-être la résonance aujourd'hui dans la transmission, etc.
- que Becaud méritait et mérite.
- Et donc, de ce point de vue-là, Émilie, sa fille et sa femme Cathy, Kate, Kitty, pardon, sont super heureuses de participer à ça, afin de remettre un peu en lumière Gilbert Becaud et l'oeuvre.
- Comment vous expliquez justement que ça n'ait pas traversé forcément les générations Gilbert Becaud ? Je ne sais pas, je crois que c'est un mélange assez sensible, la transmission entre l'image qui est donnée par l'artiste et son oeuvre.
- C'est-à-dire, c'est un équilibre un peu sensible entre les deux.
- C'est un peu pareil pour Charles Trenet, parce qu'il y a une image un peu sulfureuse autour de Charles Trenet.
- Et donc, je crois que le répertoire, quelquefois, empathie de ça.
- Parce qu'il n'est pas une image très sympathique, Becaud.
- Absolument, Gilles, mais c'est très injuste, parce qu'on le découvre dans le document.
- Dimanche, vous le verrez.
- Mais il y a vraiment, dans le témoignage de sa femme, de sa fille, et dans ce qu'on a découvert, vraiment quelque chose qui est à l'envers de l'image qu'on peut avoir, qui est très injuste.
- C'est un mec extrêmement généreux, extrêmement sensible, extrêmement calme, extrêmement chaleureux pour sa famille.
- Un très bon père de famille.
- C'est assez incroyable, ce qu'on découvre.
- Sa fille raconte des moments d'intimité rares, justement.
- Elle se confie.
- Et puis, on découvre cet endroit.
- Alors, vous êtes accompagné.
- Pendant cette émission, il y a des boeufs.
- Il y a Bénabar à vos côtés, Anne Sylla, Gauvin-Sers, André Manoukian.
- Et c'est vrai qu'ils sont très émus, Bénabar et Gauvin-Sers, de découvrir cet endroit, ce petit refuge où Gilbert Becaud aimait composer.
- Oui, c'est très touchant de rentrer dans cette intimité.
- On a été tous...
Transcription générée par IA