Retranscription des premières minutes du podcast :
- « Il est 7h, c'est Radio, parlons vrai. » « Vous êtes sur Sud Radio et Laurie Leclerc est avec nous pour les informations. Bonjour Laurie. » « Bonjour Jean-Jacques, bonjour à tous. » « Laurie, nous allons partir pour Marseille. Tirs sur les vitres d'un collège de Marseille.
- Le 13e arrondissement, les cours ont repris après deux jours de fermeture.
- Les dealers vendent et recrutent jusqu'aux portes de l'établissement. Les autres titres de l'actualité. » Les obsèques de Philippines. Aujourd'hui à Versailles, le Rassemblement National réagit et propose de réinstaurer la double peine, prison et expulsion systématique pour les étrangers qui commettent des crimes et des délits en France.
- Israël refuse le cessez-le-feu de 21 jours avec le Hezbollah. Les Libanais de France sont inquiets pour leurs proches.
- Et puis 1500 patients sans médecin dans ce petit village au pied des Pyrénées qui devient un désert médical.
- Nous entendrons la maire de la Barthe-Rivière.
- « Marseille, donc, le 13e arrondissement, un collège victime. Enfin, le collège.
- Les enfants pourraient être victimes des tirs des trafiquants de drogue. Le trafic se déroule aux portes du collège.
- Les cours ont repris après deux jours de fermeture, mais ont repris dans la peur. » Dans la peur avec la présence policière qui est renforcée devant ce lycée et un travail de prévention qui est également fait à Lionel Maillet pour éviter que les élèves ne tombent aux mains des réseaux.
- La police, à la sortie des cours, ça ne rassure pas vraiment ces élèves de 4e qui voient la réalité du trafic de drogue au quotidien.
- « Quand on fait le sport, juste derrière l'établissement, ils vont devant nous, ils guettent devant nous, ils crient devant nous.
- Ils ont juste des lunettes ou un masque. Ils ont, on va dire, entre 14 et 19 ans.
- Ça nous met mal à l'aise et on a peur aussi. Donc, s'il y a un règlement de compte, on peut se prendre une balle perdue à tout moment.
- La police, elle ne va pas rester une éternité aussi. On ne va pas être protégés toute l'année. » Le danger, c'est aussi que ces jeunes soient recrutés par les réseaux.
- Un travail de prévention sera fait en classe. C'est l'inspecteur d'académie Jean-Yves Bessol.
- « Une intervention éducative qui devrait ne pas se faire qu'en une seule fois.
- Que la préfecture de police décline dans un certain nombre d'établissements, en appui notamment sur des grands témoins qui ont été directement touchés. » Pour travailler près de la cité de la Castellane, dans les quartiers nord de Marseille, cette professeure connaît bien le problème.
- « C'est vrai que pour nos élèves, ils les considèrent un peu parfois comme des modèles, voire des héros.
- Il y a un peu cette espèce de fascination. » « Ce n'est pas facile pour leur expliquer que derrière l'argent facile, il y a des morts aussi. » Message qui a d'autant plus de mal à passer que parfois c'est un frère ou...
Transcription générée par IA