Retranscription des premières minutes du podcast :
- « Il est 7h, vous êtes sur Sud Radio, merci. » « Parlons vrai. » « L'actualité, le journal avec Laurie Leclerc. Bonjour Laurie. » « Bonjour Jean-Jacques, bonjour à tous. » « Le meurtre de Louise, 11 ans, dans l'Essonne. Les cours reprennent aujourd'hui dans le collège où était scolarisé l'enfant.
- Entre grandes émotions et, bien sûr, vive inquiétude. » « Les écoles, à la sidée de la caïole, parents et professeurs demandent des actions fortes pour protéger les enfants.
- 109 milliards d'euros pour développer l'intelligence artificielle en France.
- Le sommet mondial de l'IAS ouvre aujourd'hui à Paris. Des dizaines de pays et d'entreprises sont attendus.
- Et puis ce 10 février, c'est la journée internationale de l'épilepsie.
- L'occasion d'alerter et d'informer sur la maladie neurologique qui touche 700 000 personnes en France. » « Les enquêteurs cherchent, trois jours après la mort de la petite Louise à Longjumeau dans l'Essonne, l'arme du crime et le coupable sont pour l'instant introuvables. » « Les forces de l'ordre continuent leur travail et passent le secteur au peigne fin, Maxime Trouleau, alors que l'émotion est encore vive chez les proches de la petite fille. » « Oui, toujours dans l'attente pour connaître celui ou celle qui a tué Louise, 11 ans, avec un objet tranchant à une dizaine de reprises.
- La police judiciaire a organisé une battue qui s'est achevée tard dans la nuit.
- Hier, un 120 policiers, il y a encore quelques heures pour tenter de retrouver l'arme du crime et ainsi avancer sur la piste du coupable.
- Mais pour le moment, rien.
- Un couple avait été placé en garde à vue mais rapidement relâché samedi en début de soirée.
- Les images de vidéos de surveillance ne permettent pas d'y voir beaucoup plus clair non plus et les pistes sont encore aussi floues que larges.
- Dans le même temps, des dizaines de personnes se rendaient au collège de la jeune fille décédée à Épinay-sur-Orge hier.
- Des proches, de près ou de loin, et l'émotion d'une maman, Céline, qui vit à quelques mètres de là.
- « C'est tragique, je suis très triste et très en colère aussi.
- J'ai grandi à Épinay, je vis à Épinay.
- Je suis un agent de la ville.
- Je suis maman d'une grande qui est en quatrième, d'une petite aussi qui est en CE2.
- Comment vous dire que c'est plus le Épinay d'avant ? Je n'ai pas de mots, je n'ai pas de mots.
- Nous, en tant que parents, là, on ne se sent plus en sécurité.
- Dans quel monde où on vit, là, c'est très, très inquiétant.
- Il faut qu'on fasse très attention à nous, qu'on prenne soin de nous, qu'on fasse attention quand on sort dans la rue.
- Il faut qu'on regarde à droite, à gauche, derrière nous, sans cesse.
- C'est très dur. » La peine et la crainte de cette mère de famille au micro Sud Radio, Clément Barguin, hier, la rentrée des classes, effectue donc ce matin dans une atmosphère bien sombre,...
Transcription générée par IA