Retranscription des premières minutes du podcast :
- Très belle journée à tous. C'est notre million d'abonnés désormais sur YouTube. Il est 7 h.
- C'est radio. Parlons vrai.
- Et le journal de 7 h nous est présenté par Maxime Trouleau. Bonjour, Maxime.
- Bonjour, Benjamin. Bonjour à tous.
- L'Europe se met d'accord pour se réarmer un grand plan de 800 milliards d'euros acté hier.
- Et Emmanuel Macron annonce par ailleurs une aide pour l'Ukraine. Nous l'entendrons, le chef de l'État, dans un instant.
- Mais d'abord, les autres titres de l'actualité. Maxime.
- Et une violente passe d'armes entre le chef de l'État et Vladimir Poutine.
- Le chef du Kremlin compare Emmanuel Macron à Napoléon.
- Le président français lui a répondu hier soir. Il persiste et signe.
- La Russie est une menace existentielle pour l'Europe.
- Gérald Darmanin annonce deux prisons pour regrouper 200 narcotrafiquants.
- Mais pas que. Une mise en place progressive est totalement effective le 15 octobre.
- Et puis des Marseillais qui peinent difficilement à rentrer chez eux à cause de sangliers.
- Reportage dans la cité phocéenne avec Lionel Maillet.
- À la fin de ce journal.
- Mais tout d'abord, contrairement aux États-Unis, l'Europe continue de soutenir l'Ukraine militairement.
- Nouvelle aide validée hier par les 27.
- Oui, annonce faite par Emmanuel Macron. Plus de 30 milliards d'euros.
- Une aide d'urgence selon le chef de l'État.
- Le moment que nous vivons est grave pour l'Europe, dit-il.
- La priorité, donc, de soutenir l'Ukraine et son armée à très court terme, a détaillé donc le chef de l'État hier.
- Ce Conseil européen, donc, a acté la poursuite du soutien européen financier et militaire à l'Ukraine et quelques principes fondamentaux qui doivent nous orienter sur le chemin d'une paix solide et durable.
- Nous voulons la paix pour l'Ukraine et par l'Ukraine. Et les Ukrainiens la veulent plus encore.
- Nous voulons une paix solide et durable, c'est-à-dire une paix qui garantisse la souveraineté de l'Ukraine et qui ne soit pas une prime pour l'agresseur, ni une capitulation, ni un cessez-le-feu sans garantie.
- Emmanuel Macron qui a répondu à Vladimir Poutine, mais également à Donald Trump.
- Oui, après que le président américain ait mis des doutes sur la volonté des pays européens, comme la France, à défendre les États-Unis, comme l'ont fait les États-Unis avec l'Ukraine.
- Les Français sont des alliés loyaux et fidèles, a souligné le locataire de l'Élysée, à Emmanuel Macron, beaucoup plus dur avec Vladimir Poutine, qu'il qualifie, je cite, « d'impérialiste révisionniste ». Le chef du Kremlin avait comparé plutôt le président français à Napoléon, après qu'Emmanuel Macron avait comparé la Russie à une menace.
- D'ailleurs, la Russie qui a bombardé cette nuit avec des missiles et des drones des infrastructures énergétiques et gazières ukrainiennes.
- Emmanuel Macron qui a pris la parole.
- Hier, après une réunion avec les 27 membres de l'Union européenne, l'Europe qui acte un grand plan pour se réarmer.
- Oui, 800 milliards d'euros, dont 150 sous forme de prêts, pour renforcer notre défense.
- Désormais, des propositions concrètes vont être faites dans les prochains jours, notamment la possibilité aux États européens, dont la France, de pouvoir accroître leur budget des armées sans être inquiétés par d'éventuelles sanctions financières.
- Et en France, une ambulance ukrainienne criblée de balles qui fait le tour du pays avec cet objectif de sensibiliser la population.
- Une exposition itinérante, sensibiliser et récolter des dons afin d'acheter des véhicules de secours pour les Ukrainiens.
- L'ambulance est en ce moment exposée en région parisienne.
- Hier et aujourd'hui, Clément Barguin est allé à Vincennes, dans le Val-de-Marne, pour Sud Radio.
- Des centaines d'impact de balles sur cette ambulance ukrainienne, véhicule pris pour cible par l'armée russe dans la région de Kharkiv en septembre 2022.
- Cela interpelle forcément les passants.
- Quand c'est dans votre ville, sur votre place, que vous pouvez toucher, regarder les impacts de balles qui ont mitraillé cette ambulance, c'est très, très choquant de voir ça.
- Ça nous sensibilise aussi. On voit que c'est la réalité, mais c'est dur.
- Sensibiliser, interpeller, mais aussi dénoncer les crimes de guerre, c'est l'objectif de Benjamin. Il est franco-ukrainien.
- À la base, on ne tire pas sur une ambulance.
- Et on est là aussi pour rappeler que les conventions de Genève et les droits de l'homme et les droits du...
Transcription générée par IA