Retranscription des premières minutes du podcast :
- Il est 7h. Vous êtes sur Sud Radio. Merci. Sud Radio. Parlons vrai.
- Les informations avec Laurie Leclerc. Bonjour, Laurie. Bonjour, Jean-Jacques. Bonjour à tous.
- Laurie, une résolution symbolique pour soutenir l'Ukraine, adoptée hier à l'Assemblée nationale. Chacun a choisi son camp.
- Insoumis et communistes ont voté contre le soutien à l'Ukraine. Le Rassemblement national s'est abstenu.
- Les autres titres de l'actualité. Une figure de la mafia italo-grenobloise abattue hier matin en plein milieu d'une autoroute.
- Les suspects sont en fuite. Un fonctionnaire du ministère des Finances est accusé d'espionnage au profit de l'Algérie.
- Il a été mis en examen et placé sous contrôle judiciaire. Et puis des commerçants parisiens en colère.
- 6 mois après la fin des Jeux olympiques, certains n'ont toujours pas été indemnisés.
- Votant 474, exprimé 342, majorité 172 pour...
- 288 contre 54. L'Assemblée nationale a adopté.
- Voilà. Adoption cette nuit de la résolution de soutien à l'Ukraine. Chacun a pu choisir son camp.
- Il y a ceux qui soutiennent l'Ukraine et ceux qui ne la soutiennent pas.
- Cette résolution appelle notamment, c'est important, à saisir les avoir russes.
- Et les débats ont été houleux, Maxime Trouleau. Les députés ont également dû se prononcer sur la question de l'adhésion de l'Ukraine à l'Europe.
- Oui, tout ça n'est qu'une résolution symbolique. Elle n'engage à rien.
- Mais ce vote n'est tout de même pas anodin. Insoumis et communistes ont donc voté contre le texte.
- Le RN s'est lui abstenu. En fait, dans le détail de ce texte, LFI, écologistes et RN estiment que cette question de la saisie des avoirs russes pose un problème de droit international et pourrait, je cite, « nourrir les hostilités avec la Russie ». Le gouvernement, ça lui dit ni pour ni contre, émettant un avis de sagesse.
- Et puis il y a eu d'autres questions qui ont crispé les députés hier. La première, celle de l'adhésion de l'Ukraine à l'UE.
- Le texte invite finalement l'Union européenne, je cite, « à accompagner le processus d'adhésion à une version moins impérieuse ».
- La question de l'importation du gaz russe. Aussi, le texte appelle à y mettre fin.
- Pour ce qui est des troupes au sol, finalement, les députés encouragent, je cite, « la France et l'Europe à étudier l'éventualité d'un déploiement des forces européennes de maintien de la paix ».
- A noter qu'hier, peu avant dans la journée, les eurodéputés, eux aussi, ont voté une résolution demandant aux 27 d'aller encore plus loin et de saisir, là aussi, les avoirs russes immobilisés en Europe.
- Avec une étude déjà faite pour respecter le droit international.
- Et le ministre des Armées, Sébastien Lecornu, reçoit aujourd'hui les présidents de groupes parlementaires pour aborder la question de la sécurité européenne.
- Donald Trump envoie des négociateurs américains à Moscou. Ils y seront aujourd'hui.
- La réunion annoncée par la presse américaine, pour l'instant, n'a pas été confirmée par le Kremlin.
- Vladimir Poutine était, lui, hier sur le front, en visite auprès des soldats.
- Là, il demande le président russe à ce que les missions de combat soient accomplies et que son armée libère complètement la région russe de Kursk des soldats ukrainiens.
- Un grand nom du banditisme grenoblois a battu hier matin sur une autoroute.
- Fusillade sur l'A41 entre Grenoble et Chambéry.
- Jean-Pierre Maldera, figure du grand banditisme des années 80 à 90, a été tué à l'âge de 71 ans.
- Blessé tout d'abord par balle, il est descendu de sa voiture avant d'être percuté de plein fouet par l'autre véhicule qui a fait demi-tour.
- Les suspects sont en fuite.
- Leur voiture a été retrouvée incendie.
- Un fonctionnaire de Bercy mis en examen pour espionnage au profit de l'Algérie.
- C'est une affaire qui pourrait être sensible dans le contexte actuel de tensions entre Paris et Alger.
- Affaire révélée par le journal Le Parisien, aujourd'hui en France.
- Amélie Béguin.
- Une taupe, des données sensibles, un ministère français, une puissance étrangère.
- Ce pourraient être les ingrédients d'un bon polar.
- Mais non, tout commence le 16 décembre 2024.
- Le contre-espionnage français est une info et pas des moindres.
- Un fonctionnaire échangerait des données avec un bureaucrate algérien.
- Direction le ministère de l'économie, discrètement, la police interpelle le suspect.
- Il a 56 ans,...
Transcription générée par IA