Retranscription des premières minutes :
- « Il est 7h, Sud Radio. Les informations avec Laurie Leclerc. Bonjour Laurie. Donald Trump, Vladimir Poutine se sont accordés sur une trêve de 30 jours en Ukraine, mais très limitée, elle ne s'applique qu'aux infrastructures énergétiques. Les autres titres de l'actualité. » Un départ à 62 ans. 400 jeunes migrants expulsés de la gaieté lyrique hier à Paris. Et maintenant, le lieu culturel sera étroitement surveillé. Certains migrants vont retourner dans la rue.
- Et puis le PSG devant la commission de discipline. Le club parisien pourrait être sanctionné après des chants insultants. Deux supporters et une banderole visant Adrien Rabiot et sa mère.
- « Ils se sont parlé pendant deux heures par téléphone hier. Donald Trump et Vladimir Poutine ont trouvé un maigre accord pour une trêve d'un mois partiel.
- En Ukraine. » Un cessez-le-feu de 30 jours, Maxime Trouleau, mais limité à une interdiction pour les deux camps de frapper les infrastructures énergétiques.
- « Oui, et c'est tout. Ukrainiens et Américains avaient évoqué une trêve plus large, mais Vladimir Poutine a rappelé à Donald Trump qu'un cessez-le-feu, même limité dans le temps, ne pouvait être fixé à n'importe quelle condition.
- Et hier, dans un échange téléphonique très attendu, le chef du Kremlin a de nouveau rappelé ses conditions, les lignes rouges qu'il a lui-même fixées, et une en particulier, la fin totale de l'envoi d'aide.
- Une aide militaire à l'Ukraine, qu'elle ne vienne des Etats-Unis ou de l'Europe. Un bon échange, a tout de même avoué hier Donald Trump sur Fox News.
- Le président américain qui avait d'ailleurs évoqué d'abord un cessez-le-feu sur toutes les infrastructures ukrainiennes, avant que Moscou ne précise bien que ce cessez-le-feu ne prend en compte que les infrastructures énergétiques.
- Un hôpital a d'ailleurs été bombardé cette nuit par la Russie.
- « Nous ne laisserons pas tomber les Ukrainiens », a déclaré les Européens, notamment.
- Via l'Allemagne, ne laissant pas beaucoup d'optimisme sur la suite des négociations.
- Prochaine étape, justement, de nouvelles négociations dimanche en Arabie Saoudite.
- La Russie n'est pas prête à l'arrêt de la guerre, a regretté de son côté Volodymyr Zelensky.
- Les précisions de Maxime Trullo.
- Les frappes sur Gaza hier ne sont que le début.
- Selon Benjamin Netanyahou, qui serait peut-être en train de mettre en œuvre le plan Trump.
- Raser Gaza.
- Plus de 400 personnes en tout cas sont mortes hier dans l'enclave.
- Selon le ministère de la Santé du Hamas, le premier ministre israélien affirme que « désormais, les négociations ne se dérouleront que sous le feu ».
- Emmanuel Macron lui reçoit à l'Elysée le roi Abdallah II de Jordanie pour discuter de la reprise d'une trêve en échange de la libération inconditionnelle des otages.
- Évacuation musclée hier à Paris, à la Gaîté Lyrique.
- Plusieurs dizaines de migrants mis dehors.
- 46 personnes ont été interpellées.
- Gaz lacrymogènes, matraques, affrontements.
- Ces jeunes migrants occupaient depuis trois mois le théâtre de la Gaîté Lyrique.
- D'être évacués dans cette opération sous haute tension.
- Et une question se pose maintenant.
- Marie Folio, que vont devenir ces jeunes désormais dispersés ? Après le tumulte et les tensions de l'évacuation, un calme relatif est revenu autour du théâtre de la Gaîté.
- Gaufi vient de Côte d'Ivoire.
- Il vit sans domicile fixe depuis plus d'un an.
- Et aujourd'hui, il se retrouve de nouveau à la rue.
- Si j'étais heureusement, là, je vais trouver du travail.
- Parce que là, je suis dans la rue, j'ai mal habillé.
- Mais là, c'est...
- On est très inquiets.
- Sophie est une habitante du quartier.
- La fin du squat des jeunes migrants lui laisse un sentiment partagé entre soulagement et empathie.
- Il fallait quand même l'évacuer, je crois.
- Mais avec, au préalable, une solution pour les mettre ailleurs.
- Des places d'hébergement ont été proposées hors de Paris, mais la plupart des migrants les ont refusées.
- Christiane est membre de la Ligue des droits de l'homme.
- Le problème, c'est qu'ils ont commencé souvent leurs papiers à Paris.
- Pour avoir des papiers, c'est un parcours du combattant.
- Voilà.
- Donc, ils sont dehors, mais sans rien.
- C'est-à-dire que je leur ai demandé, vous allez où ? Ben, ils partent.
- Un important dispositif de police sera maintenu pendant plusieurs jours aux abords du...
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