Retranscription des premières minutes du podcast :
- Le Grand Matin Sud Radio, 7h-9h, Jean-Jacques Bourdin.
- Bien, vous avez la parole, les auditeurs ont la parole, nos auditeurs ont la parole sur l'antenne de Sud Radio, avec Christelle qui est à Fijac. Bonjour Christelle.
- Oui, bonjour.
- Vous avez entendu le président de la SPA, Jacques-Charles Fonbonne, demander à Michel Barnier la création d'un ministère ou d'un secrétariat d'État à la condition animale.
- Vous êtes d'accord ? C'est une bonne idée ? Oui, pour moi, oui. Pleinement.
- Pleinement. Vous avez adopté des chiens à la SPA, je crois ? Oui, j'en ai adopté deux. J'en ai deux que j'ai achetés ailleurs. Je viens de récupérer un cheval aussi, mais pas par le biais de la SPA.
- Et je suis famille d'accueil pour la SPA.
- Ah bon. Donc oui. Donc c'était votre président qui était là, quoi. Avec nous.
- Voilà.
- Oui, vous pouvez être qu'en accord. Non, mais vous êtes en accord avec ça parce que, pour vous, c'est une présidence.
- C'est une priorité. Pourquoi ? C'est une priorité parce que, bon, à l'époque où on est maintenant, je trouve que, bon, quand on voit les abandons qu'il y a chaque année...
- Bon, quand on a un animal, on en est responsable. Pour faire court, on est responsable de se comprendre. Et puis c'est tout.
- Après, il y a trop d'animaux malheureux. Et ça, personnellement, ça me peine profondément, quoi. Voilà.
- Il y en a qui les aiment trop, mais il y en a, on se demande... Voilà.
- Oui. Oui.
- Voilà. Je fais court parce que...
- C'est quelque chose qui me tient à cœur et j'ai un peu de mal à parler de ces sujets, même quand je reçois les...
- Parce que je suis abonnée aussi à 30 millions d'amis. Je suis donatrice à 30 millions d'amis.
- Quand on reçoit les prospectus sur les abandons, à notre présidence animale, c'est assez touchant.
- Ça fait mal au cœur, parfois, hein ? Oui, beaucoup, oui.
- Merci, Christelle. Merci à vous. Jean-Pierre est avec nous aussi. Notre Marseillais. Jean-Pierre, bonjour.
- Oui, bonjour, Jacques.
- Oui, vous vouliez parler de Sébastien Delogu qui était avec nous hier matin.
- Oui, sur plusieurs plans. Ce que je voudrais dire dans cette situation, c'est qu'auparavant, il y avait un parcours initiatique qui permettait à un élu de faire un parcours d'élu municipal, d'élu terrain.
- Il avait le temps de se former, un peu comme Pierre Bérégovoy, qui avait un CAP d'ajusteur. Il avait le temps d'apprendre qui était Philippe Pétain, quelle était l'histoire de France, quelles étaient les références importantes à connaître, comment on construit une loi.
- Aujourd'hui, il n'y a plus de cumul de mandat. Donc, on est balancé d'un coup comme ça, un poste de député. On est élu parce que c'est...
- Ce sont les électeurs qui l'ont choisi, hein, Jean-Pierre ? Mais je suis tout à fait d'accord. Les électeurs sont, je pense, de ce niveau-là, dans certaines zones. Et ils représentent. Ils le représentent tout à fait. Il est en opposition avec...
Transcription générée par IA