Retranscription des premières minutes du podcast :
- Le Grand Matin Sud Radio, 7h-9h, Jean-Jacques Bourdin.
- Frédéric, bonjour.
- Oui, bonjour.
- Bonjour aux établagnacs en Haute-Garonne, Frédéric.
- Tout à fait.
- Vous êtes électeur du RN, mais vous vous opposez aux sympathisants, c'est ça ? Voilà.
- Voilà.
- Tout à fait, voilà.
- Et vous vous opposez à la censure du gouvernement, pourquoi ? Parce que je pense qu'aujourd'hui, il faut quand même que l'on ait un budget qui soit voté, que l'on ait quand même une ligne de conduite pour la France, parce qu'on va retarder, retarder, retarder, on se retrouve dans un abîme, je dirais, de non-direction.
- Il faut maintenant quand même que la France puisse retrouver un peu de tranquillité, d'apaisement et de pouvoir travailler et d'attendre peut-être des prochaines élections législatives, pourquoi pas au mois de juin, ou des élections présidentielles en 2027, mais il va falloir qu'on avance.
- On ne peut pas rester indéfiniment tous les trois mois à faire chuter un gouvernement, à repartir.
- C'est un moment de semaine à un moment donné, il faut que l'économie reparte, l'économie est complétée.
- Vous dites qu'il y a les principes et puis il y a la réalité.
- Exactement, il y a les principes et la réalité.
- Deux principes, on peut parfois, il vaut mieux quelque part, une bonne négociation qu'un mauvais procès, et je dirais qu'à partir de là, maintenant, il faut commencer à bosser, on a une situation qui est catastrophique, qu'est-ce que l'on fait ? On est au bord du gouffre, qu'est-ce qu'on fait ? On fait un pas en avant, on fait un pas en arrière, on attend.
- Donc mettons en place un budget, travaillons dessus, attendons les prochaines élections pour justement, dans ce cas-là, que chaque personne puisse se représenter, se motiver et annoncer dans ce cas-là leur jugement.
- Mais il faut maintenant qu'on avance, parce qu'on est dans une situation économique totalement bloquée dans différents systèmes, on ne peut pas continuer comme ça.
- Bien, merci Frédéric.
- Philippe est à Libourne.
- Merci beaucoup Frédéric, bonne journée.
- À bientôt.
- À bientôt Frédéric.
- Philippe est à Libourne.
- Bonjour Philippe.
- Oui, bonjour.
- Bonjour.
- Là, on va passer à autre chose.
- On va passer à la guerre commerciale engagée par Donald Trump.
- Philippe, que dites-vous ? Bon, alors, j'essaie de vous la faire courte, mais quand même, c'est assez compliqué, il faut l'abriquer.
- Alors, en fait, moi, si vous voulez, je suis patriote.
- En fait, pour moi, je vais vous expliquer le paradoxe d'un patriote qui est pour la France en premier et qui soutient quelqu'un qui dit l'Amérique en premier.
- Ce n'est pas évident.
- Ah ben ça, ce n'est pas évident.
- Voilà.
- Non, mais à première vue, mais en fait...
- Et ça sera de moins en moins évident, hein, mon cher Philippe ? Non, non, je vais vous démontrer...
- Alors, expliquez-nous pourquoi.
- Alors, je vous explique.
- En fait, on dit qu'en Europe, là, on a une balance commerciale.
- L'Union...
Transcription générée par IA