Retranscription des premières minutes du podcast :
- Le Grand Matin Sud Radio, 7h-9h, Jean-Jacques Bourdin.
- Il est 7h56, Vanessa est avec nous. Bonjour Vanessa.
- Bonjour Jean-Jacques.
- Comment allez-vous ma chère Vanessa ce matin ? Très bien, très bien. J'espère que le soleil va pointer parce que c'est que je suis par ici.
- Vous êtes où ? Rappelez-nous déjà Vanessa.
- Dans le Gers.
- Voilà, dans le Gers.
- Vous savez, si vous étiez à Paris comme nous, le soleil, je ne sais même pas s'il existe encore.
- Franchement, parce que ça fait... On ne le voit plus depuis...
- De temps en temps, il y a une journée de soleil, ça dure une journée et le soleil disparaît pendant huit jours.
- Et on ne le voit plus.
- C'est trop d'eau. C'est trop d'eau pour nous. On ne peut plus travailler les terres, c'est compliqué.
- Il y a trop d'eau là ? On a des piscines partout.
- Il n'y a plus que dans la région perpignanaise où il manque encore un peu d'eau.
- Vraiment dans l'extrême...
- Oui, oui.
- Dans le Languedoc, côté Perpignan, côté Aude et un peu côté héros.
- Dites-moi Vanessa, vous n'êtes pas d'accord avec moi.
- Tout à l'heure, j'étais en colère et je ne suis pas le seul.
- Éric Revelle aussi et puis même Jean-François Aquilide, on vient de parler du sujet.
- Et comme moi, je trouve que cette intrusion d'Élise Lucet à l'Assemblée nationale me paraît pas tout à fait logique, normale.
- Qu'en pensez-vous Vanessa ? Moi, j'estime que quand même, ces gens-là font des lois.
- Oui.
- Ils se punissent pour certaines choses.
- Oui.
- Et il n'y a pas de raison qu'eux soient au-dessus des lois.
- Ils doivent être comme nous, c'est-à-dire, ils doivent montrer l'exemple.
- Le problème, c'est que c'est déjà arrivé malheureusement qu'on surprenne.
- Oui.
- Voilà.
- Et malheureusement, ils sont comme tout le monde.
- Il en existe partout.
- On ne peut pas leur faire...
- Oui, mais est-ce que la télé, c'est la police ? Alors, que ce soit la télé, je suis d'accord que c'est pas...
- Enfin, je ne suis pas pour que ce soit forcément médiatisé.
- Attention.
- Oui, je comprends.
- Si ce soit puni, certes, ça doit rester assez discret.
- On n'est pas obligé de...
- Oui, ça, je suis d'accord.
- Je veux dire...
- C'est là-dessus, d'ailleurs, qu'on conteste.
- C'est pareil, on aime bien que ça reste discret, quoi.
- Mais que ce soit fait, je suis d'accord.
- C'est là-dessus que nous n'étions pas d'accord.
- Sur la manière dont c'est fait.
- Oui, voilà.
- Parce que moi, je veux bien...
- Enfin, si j'imagine, tout à coup, qu'il y ait une intrusion dans les locaux d'une chaîne de radio, de télévision, pour aller contrôler les journalistes, pour savoir s'ils ont fumé, s'ils ont pris de la coque, s'ils ont bu, ou etc., etc., vous imaginez les cris d'orfraie ? Ça, j'imagine.
- Non, mais après, voilà.
- Je crois qu'en Amérique, où tout est médiatisé, voilà, c'est pour faire du buzz...
- Exactement, c'est pour faire du buzz.
- Ne cherchez pas, c'est pour faire du buzz.
- Voilà.
- Ça, c'est...
-...
Transcription générée par IA
