Retranscription des premières minutes :
- Le Grand Matin Sud Radio, 7h-9h, Jean-Jacques Bourdin.
- Merci d'être avec nous. Christelle est là. Christelle Affijac. Bonjour, Christelle.
- Bonjour. Bonjour. Vous avez... Alors j'évoquais un sujet tout à l'heure.
- Nous évoquions dans le journal de 7h que je trouve très intéressant et qui se multiplie.
- On parle beaucoup du vol d'arbres, du vol... Vous savez, le vol des plantes.
- Une mairie plante, je sais pas, sur un rond-point des fleurs ou des arbustes, et immédiatement, ils sont volés.
- Ils sont volés. Eh bien les chiens, c'est pareil. On vole de plus en plus de chiens.
- Christelle, vous avez 4 chiens. Vous les surveillez ? Moi, j'ai la chance d'avoir toute la journée avec moi au travail, puisque je travaille sur des exploitations agricoles.
- Mais même à la maison, je ne suis jamais tranquille. J'évoquais tout à l'heure, on a même voulu me voler mon cheval dans mon char.
- Non. Non. Si, si, si. Un cheval qui est assez rare. Et bon, je m'y attendais pas.
- Et le gars, il était venu avec le vent. Il avait mis des cols et tout.
- Non. Il était venu avec la remorque, avec le vent, pour vous voler votre cheval.
- Oui, oui. Tout à fait en fin de soirée. Et je suis ressortie, parce que j'aimais voir les chevaux dehors.
- Et je suis restée vraiment hébétée, quoi. Et alors, comment ça s'est passé ? Ça s'est passé que j'ai même pas eu le temps de monter dans la bagnole, parce que j'ai crié, parce que le cheval, il était un peu au-dessus.
- Au-dessus de la maison, j'ai crié. Il est parti ventre à terre, quoi.
- Mais si j'avais pas regardé à ce moment-là, j'avais plus de cheval.
- Donc il en est. J'ai assuré tour des animaux pour les vols, quoi.
- On en est obligés d'arriver à des extrêmes comme ça. Et c'est pas cool, quoi.
- Même à la campagne, donc, le vol de chiens a explosé. Il n'y a pas qu'en ville.
- Oui. Il y a 15 jours, chez moi, un border et un jack ont disparu. On sait pas où.
- Oui, à la campagne. Donc c'est vrai que c'est problématique.
- Ça se met.
- Ça se multiplie. Et il n'y a rien à faire, en plus, après, pour les retrouver.
- Vous pouvez les pucer. Vous pouvez faire ce que vous voulez. Les puces, c'est bien.
- Mais ça sert pas à grand-chose en soi, quoi. Enfin...
- Oui, je comprends.
- Moi, c'est mon avis personnel. Après, ils les enlèvent, donc...
- Oui. Bon. Bon.
- Mais c'est pas problématique.
- Alors merci, Christelle. Et j'imagine que ça suscite des réactions parmi nos auditeurs, les vols.
- Bien sûr, oui.
- Eh bien merci beaucoup, Christelle. Merci. Et bonne journée, vraiment.
- Merci. Au revoir.
- Merci. Au revoir, Christelle. Et le vol... Mais il n'y a pas que des animaux qu'on vole.
- Il y a les vélos qu'on vole. Énormément de vols de vélos. Baptiste...
- Bonsoir. Bonjour, Jean-Jacques.
- Baptiste, vous êtes à Boulogne-Bianco. Vous êtes notre voisin, mon cher Baptiste.
- Ouais. Vous tenez le coup, Jean-Jacques ? Ça va ? Bah ça va, moi. Ça va, ouais.
- Non, mais vol de chien, vol de cheval, vol de vélo...
- D'habitude, les lundis matins, c'est un peu plus mouvementé, niveau information.
- Ça va aller ? Baptiste, ça va très bien. Ça va très bien. Moi, je vais à pied, donc on ne me vole rien.
- C'est encore le mieux, ça.
- À pied, on ne me vole rien. Mais bon, on sait... Non, mais le vélo... Vous roulez un vélo tous les jours, vous, Baptiste.
- Oui. Et je suis pas loin de vous, en fait, Jean-Jacques. Parce que moi, on ne peut pas me voler mon vélo, puisque j'ai fait le choix de rester... Ça fait 5 ans que ça dure, de rester avec un Vélib. Voilà.
- Parce qu'un Vélib, en fait, on ne peut pas me le voler. Voilà. Et c'est le seul argument...
- Il me dissuade de prendre mon propre vélo. T'as acheté un vélo ? En fait, j'ai tous mes amis ont des vélos. Et tous mes amis, une fois par mois ou 2-3 fois par an, se font voler leur vélo. C'est pénible, quoi. Donc moi, je suis très...
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