Par Jean-Jacques Bourdin
Une contribution locale pour renflouer les finances publiques ?
Une contribution locale pour renflouer les finances publiques ? Jean-Jacques Bourdin reçoit Anthony et François
Retranscription des premières minutes du podcast :
- Le Grand Matin Sud Radio, 7h-9h, Jean-Jacques Bourdin.
- Anthony, vous êtes à Castres, bonjour Anthony.
- Bonjour Jean-Jacques.
- Bonjour, ça me fait plaisir de vous avoir le matin.
- Alors, une contribution locale pour renflouer les finances publiques, c'est vrai qu'avec la disparition de la taxe d'habitation, il y a un manque à gagner énorme pour les mairies.
- Vous dites, l'idée d'une contribution, une taxe, un impôt, payée par tous en fonction de ses moyens, des moyens de chacun, est une bonne idée ? Tout à fait, tout à fait.
- Bon, de toute façon, on y est, il va falloir renflouer les caisses.
- Donc, à un moment donné, il faut choisir ses batailles.
- Mais effectivement, qu'elles soient proportionnelles aux revenus, ça me paraît équitable.
- Encore qu'il faut vraiment que tout le monde contribue.
- Alors après, pour les potentiels revenus, même si c'est 20 ou 30 euros, il faut que tout le monde soit concerné par l'effort.
- Voilà, mais là, je suis complètement… parce que ça responsabilise tout le monde.
- Exactement, parce que là, si c'est toujours les mêmes qui vont contribuer, déjà, ça manque à gagner.
- C'est une charge plus lourde pour le reste, et ça va continuer à alimenter cette espèce de charge sur la place moyenne et autres.
- Merci beaucoup, Anthony, et merci pour votre avis.
- Ça vous fait réagir, 0826 300 300.
- Le trafic de drogue, François est à Nîmes.
- Bonjour François.
- Bonjour, bonjour Jacques.
- Bonjour François.
- Ça me fait plaisir de vous rencontrer.
- On va vous retrouver à Nîmes.
- Tiens, je serai à Nîmes vendredi, pour voir Nîmes Olympique, évidemment, pour aller supporter mon club.
- Dites-moi, François, il est temps de mener une vraie politique contre le narcotrafic, et vous dites, la solution ne peut être qu'européenne.
- Bien sûr, c'est une coalition européenne.
- Vous savez, on le sait, c'est les pays du Maghreb qui produisent le chitin.
- Je parle pas pour le chitin, je parle pas pour l'héroïne.
- Oui, pas pour la cocaïne.
- Voilà, la cocaïne au Sénat du Sud, c'est un autre problème.
- Mais il faut une coalition européenne.
- Il faut un gros embargo.
- On sait où sont les champs de production.
- On peut donner les cibles aux représentants de ces pays.
- S'ils n'agissent pas, on leur donne un ultimatum.
- Soit on envoie, moi j'enverrai des grandes, je boulerai tout.
- Moi je suis un peu vraiment extrémiste de ce côté-là.
- Ou soit on fait un embargo total sur ces pays.
- On leur dit, attendez, vous n'avez pas réglé votre problème.
- Nous, on fait un embargo total, économique, diplomatique, c'est-à-dire plus de visas, plus rien.
- On bloque vraiment les frontières à ce niveau-là.
- Oui, je veux recevoir.
- Vous avez raison de dire ça, François, parce que je vais recevoir le ministre de l'Intérieur jeudi matin, Bruno Retailleau, et j'ai deux questions à lui poser.
- Un, les accords entre la France et l'Algérie, est-ce qu'il faut les dénoncer ? Et deux, question sur...
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