Retranscription des premières minutes du podcast :
- Le Grand Matin Sud Radio, 7h-9h, Jean-Jacques Bourdin.
- Kamel est avec nous à Avignon, bonjour Kamel.
- Bonjour M. Bourdin.
- Ça va, vous avez entendu l'invité que j'avais là sur le Mexique, Frédéric Saliba, sur la mexicanisation et surtout sur ce qui se passe au Mexique, 30 000 morts par arme à feu par an, vous vous rendez compte ? C'est ce qu'on retrouve, les morts qu'on retrouve, mais ceux qu'on ne retrouve pas, ils ne sont pas comptabilisés dans ces 30 000 morts.
- Mais bon, de toute façon, quand on parle de mexicanisation en France, ce qui m'étonne, c'est que déjà en Espagne, la mafia latino-américaine commençait déjà à s'implanter.
- Déjà la police en Espagne disait qu'ils avaient trouvé des propagandes pour former des gangs en Espagne déjà, par rapport à la drogue.
- Donc ce qui m'étonne, c'est qu'en sachant ça, déjà ça fait longtemps… que j'avais entendu cette histoire-là et que j'avais un peu regardé cette histoire-là, ce qui m'étonne, c'est qu'en France, aujourd'hui, on parle de mexicanisation.
- Excusez-moi, je ne suis pas énervé, c'est nous prendre pour des cons.
- Augmentation des flux de marchandises, augmentation de la circulation des armes.
- Tout ça, c'est du blabla, tout ce qu'on sait, c'est que par rapport à la drogue, quand on parle de drogue, on parle automatiquement dans son packaging, il y a des armes, c'est automatique.
- Ça, s'il y a de la drogue, il y a des armes.
- Mais aujourd'hui, il y a urgence.
- Là, il y a des gens qui nous se montrent avec des cagoules et ils se présentent en tant que… Donc aujourd'hui, si on ne fait rien, d'ici même pas, je pense pour moi, à personne, on est à la limite du retard.
- Là, je pense qu'ils se sont implantés déjà… Bon, écoutez, tout à l'heure, Bruno Rotailleau va présenter son plan anti-drogue.
- Nous en parlerons, il sera demain à Marseille avec le ministre de la Justice.
- Nous allons parler de son plan anti-drogue.
- Évidemment, il sera sur l'antenne de Sud Radio.
- C'est Sud Radio qui fait l'événement ce matin.
- Donc, le ministre de l'Intérieur, 8h30, 9h, ne le ratez pas.
- Merci. Romina est à Vic-de-Bigorre.
- C'est dans les Hautes-Pyrénées. Bonjour Romina.
- Bonjour Jean-Jacques, bonjour.
- Merci vraiment d'être avec nous.
- Vous êtes déléguée de parents d'élèves.
- Et tout à l'heure, j'évoquais cette étude qui est parue hier soir.
- Les principaux de collèges et les proviseurs de lycées sont de plus souvent confrontés à la colère, à l'intervention et même à la violence de la part de certains parents d'élèves.
- Vous êtes déléguée de parents d'élèves.
- Ça se dégrade, ces relations entre les directeurs d'établissements et les parents d'élèves ? Alors ça se dégrade, je crois que c'est un constat qui est fait depuis quand même quelques années.
- Oui, mais ça s'accélère là, dit-il.
- C'est sûr que ça s'accélère.
- Après, vous savez, c'est la société qui est comme ça.
- Quand on voit ce...
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